A quelques jours de la marche des solidarité qui se déroulera ce 30 Mai à Paris ,nous vous diffusons une série de reportage réalisé a Montreuil , avec dans un premier temps , une rencontre avec des anciens habitants du foyer Baras et ensuite un reportage réalisé par le groupe du 14 Octobre.
En seconde partie d’émission , nous reviendrons sur le déconfinement de la répression a la SNCF avec Eric Bezou, cheminot menacé de licenciement pour son engagement syndical.
Nous refermerons cette émission , avec un reportage fait par le Proceso de Liberacion de la Madre Tierra, un mouvement de récupération de terres par des communautés Nasa du nord du Cauca en Colombie, qui luttent contre les grands industriels de la canne à sucre.
Des dizaines de personnes placées sur écoute, un millier de discussion retranscrites, plus de 85.000 conversations et messages interceptés: l’information judiciaire ouverte en juillet 2017 est une machine démesurée de renseignement sur le mouvement antinucléaire de ce village de la Meuse. Des visages pris dans une toile de flèches et de diagrammes. Sous chaque photo : date et lieu de naissance, surnom, organisation.
Ce schéma a été réalisé par la cellule d’analyse criminelle Anacrim de la gendarmerie nationale. Son logiciel, Analyst’s notebook, permet de visualiser les liens entre des personnes via leurs numéros de téléphone, des lieux, des événements ; une véritable machine de renseignement sur le mouvement antinucléaire de Bure, selon le dossier d’instruction qu’ont consultés Reporterre et Mediapart, et Libération .
Une enquête hors norme, extrêmement intrusive et focalisée sur la surveillance de militants politiques que la justice semble considérer comme des ennemis de la démocratie. Quels faits ont déclenché l’autorisation d’un recueil aussi massif de données ? Dans cette captation du son d’un film réalisé par des opposants au projet d’enfouissement de déchet radioactif nous revenons, dans cette émission, sur la lutte qui se mène à Bure et sur la répression qui s’y exerce.
Le président de la république, dans un discours très remarqué lors de sa visite à Mulhouse, promettait aux hospitaliers des lendemains qui chantent. La santé ne devait plus être envisagée comme un coût mais comme un bien précieux. L’hôpital devait connaître un grand plan d’investissement, les hospitalier-es recevraient une prime exceptionnelle et verraient leur carrière revalorisée. Le président Macron finissait sur un ton solennel « nous le leurs devons, nous le devons à la nation…. ». Nous étions le 25 mars.
Le manque de moyen humain fut criant face a cette pandémie.Les protections les plus élémentaires ; sur-blouses , masques … face a ce virus, peu présente.
Depuis la fin du confinement , la colère des hospitalier-es sort de l’hôpital .ce fut le cas pour ce premier reportage , réalisé ce 20 Mai devant l’hôpital Tenon dans le 20eme arrondissement de Paris
En seconde partie d’émission , nous serons avec Lucie , qui exerce le métier d’ artisan de mode et elle nous parlera de son expérience sur la fabrication des masque de protection contre le covid-19 , des mouvements qui se sont organisés et de la question du bénévolat.
Depuis plus d’une semaine, la reprise est lancée . Alors que le virus circule encore dans le pays, pour les tenants de l’économie, il est impératif de relancé la machine Mais quand est il des relations sociales ou des luttes ?
Voici la question , qui va traverser l’émission de ce jour. Nous seront avec Claire du collectif des intermittent-e-s et précaires sur les propositions du gouvernement pour ce secteur . par la suite , nous seront en compagnie de Jules du journal le Poing à Montpellier pour un retour sur le déconfinement dans le sud et nous terminerons cette émission avec Aline Pailler , ancienne journaliste , avec qui nous reviendront sur le positionnement du service public de l’audiovisuelle .
Emmanuel Macron s’est rendu ce vendredi 15 mai à l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière à Paris, où il a été confronté à l’inquiétude des personnels soignants. Se disant conscient de la situation à laquelle ils sont confrontés, a reconnu une « erreur » de sa part.Mais cela fait beaucoup d’erreur et de bricolage depuis le début de cette pandémie de covid-19.
Dans l’émission de ce jour, nous entendrons la colère de soignant-e-s notamment lors de la visite de Macron dans un hôpital . Et dans un second temps , nous vous proposons un entretien réalisé avec une infirmière travaillant en salle de réveille dans un hôpital parisien . Elle fera un bilan des deux dernier mois passé et des perspectives de lutte a venir.
Concernant les soignant-e-s deux rdv cette semaine : mercredi 20 à 13h devant l’hôpital Tenon 4 rue de chine métro Gambetta et jeudi 21 à 13h30 devant l’hôpital Robert Debré 48bd serurier métro porte des lilas.
Alors que la pandémie de covid-19 continue a circuler dans le pays , cette semaine qui s’ouvre voit des entreprises reprendre leur activité , mais dans quelle conditions?
Deux entretiens vont nous aider a comprendre les tenants et aboutissants de cette reprise.
Nous débuterons avec l’intervention de Vincent salarié de PSA Mulhouse pour le secteur de l’automobile et ensuite nous entendrons Gilles Reynaud, salarié d’Orano, représentant syndical de SUD ÉNERGIE, membre fondateur de l’association « Ma zone contrôlée». Entretien réalisé le 17 avril dernier par le Cedra : Collectif Contre l’Enfouissement des déchets RAdioactifs.
A la veille du retour dans certains établissement scolaire , dans quelle état d’esprit ce fait cette rentrée après plusieurs semaines de confinement ?
Sur ce thème dans l’émission de ce jour , nous commencerons avec l’intervention d’une parent d’élève du 20eme arrondissement de Paris, qui se tenait Le 4 Mai dernier lors du 2eme meeting éducation le 11 mai n’aura pas lieu
Nous poursuivrons avec un entretien réalisé le 6 Mai dernier en compagnie d’enseignants de Boulogne sur Mer .
Et nous terminerons avec l’ intervention d’un inspecteur du travail sur la question du droit de retrait , intervention issue du 2eme meeting éducation le 11 mai n’aura pas lieu.
Traçage numérique, dans un premier temps pour notre bien et notre santé, et après une fois que le dispositif est mis en place plus rien n’arrêtera les États de ficher nos déplacements et nos rencontres.
La quadrature du net nous parle de cette volonté de tracer la population grâce au numérique. Il ont déposé un recours avec la LDH; recours rejeté. A défaut de mettre en place de véritables moyens sanitaire les gouvernements ont opté pour le contrôle, la répression, l’ enfermement; commeà son habitude.
Un appel à boycotter l’application stop covid-19 a été lancé par Écran total, et le groupe de travail ” digitalisation, TIC et 5G” de l’ organisation Écologistes en action pour refuser la numérisation de nos vies.
Dans l’émission de ce jour , nous vous proposons un panorama des différentes initiatives qui ont marqué ce 1er Mai un peu particulier pour cause de covid-19
En premier lieu , nous auront un témoignage sur la tentative de rassemblement place de la république, suivra le récit d’un 1er Mai au balcon dans le 20eme arrondissement de Paris ,ensuite le témoignage d’un militant sur la tentative de rassemblement place Gambetta et tout cela entrelacé avec des extraits du meeting confiné du 1er Mai organisé par la coordination nationale des AG et secteurs de luttes . bonne écoute !
L’infrastructure logistique permet au capitalisme de se mondialiser en cherchant le moindre coût au détriment des conditions de travail, des salaires et de l’environnement. Elles ont permis également de faciliter la mondialisation du virus.
Les ouvriers de ces entrepôts sont parmi les plus exposés au Covid-19. Continuant à travailler dans des conditions bien éloignées des recommandations sanitaires, ils font transiter des milliers de tonnes de marchandises. Seuls leurs luttes ont permis de freiner l’exploitation et le mépris patronal.
Dans cette émission, nous avons demandé à David Gaborieau, sociologue au Centre d’étude de l’emploi et du travail du CNAM, de nous expliquer l’importance du rôle des plates-formes logistique et également à Mohamed qui travaille pour Eurotranspharma et à Mouloud de GEODIS de nous dire concrètement leurs conditions de travail et leur volonté de ne pas crever pour leurs profits.
Quelle traitement médiatique des violences policières en temps de confinement?C’est dans cette perspective que dans l’émission de ce jour , nous allons entendre plusieurs témoignages.
Le premier sera celui de Joey, un habitant de Villeneuve la garenne dans les Hauts de Seine ensuite Samir, ancien membre du MIB- Mouvement de l’Immigration et des Banlieues, suivra le témoignage de Billel, collectif gilet jaune Rungis, un détour par Saint-Denis avec Madjid, élu a la mairie de Saint-Denis, il sera suivit par celui de Hadama, militant politique a Aulnay-sous-Bois et nous conclurons avec Didier syndicaliste CGT au dépôt RATP d’Aubervilliers .
Quelle sont les initiatives politiques de solidarité mise en place suite a l’épidémie de covid-19 ? Dans l’émission de ce jour, il en sera question avec des témoignages collectives.
le premier sera avec des membres de la cantine des Pyrénées situé dans le 20eme arrondissement de Paris et dans le second , nous irons a la rencontre des brigades populaires de solidarité de Montreuil . Bonne écoute !
les conséquences des politiques sociales désastreuses augmentées par la situation de crise sanitaire que nous traversons sont importante, mais surtout, quelle réponse, salarié.e.s et étudiant.e.s du social peuvent donner face à cela ! Voici le thème de l’émission de ce jour.
Et pour illustrer cela , nous vous proposons l’écoute des prises de parole lors du grand meeting national du travail social en lutte qui se tenait ce 23 Avril. Interviendront ; une étudiante, des salarié-e-s de l’insertion, de la pédopsychiatrie et aussi de l’hébergement d’urgence.
Comment vit on cette période de confinement dans divers secteurs salariés ? quel sont les rapports de forces qui se produisent. Voici les questions qui se posent dans l’émission de ce jour.
Nous commencerons avec le témoignage d’un postier sur les mesures sanitaires mise en place par la poste.
Suivra le récit de Joëlle qui travaille comme aide aux personnes handicapé-e-s dans l’éducation nationale
Nous terminerons cette émission avec deux témoignages du secteur ouvrier . Le premier sera celui de Ghislaine , ouvrière a l’usine automobile PSA Poissy et suivra le récit d’une personne travaillant dans une usine de transformation laiterie au pays basque. Bonne écoute !
L’épidémie de coronavirus qui se répand n’épargne personne. Comme trop souvent, ce sont les plus fragiles et les plus marginalisés qui sont les plus exposés à cette crise sanitaire. La situation dans les foyers de travailleurs migrants et les foyers informels est critique ! La sur-occupation est une réalité qui rend les mesures de confinement difficiles, voire impossibles à mettre en œuvre.
Nous entendrons dans l’émission de ce jour plusieurs témoignages illustrant cette situation . dans le premier , un entretien réalisé ce 17 Avril avec deux délégués de foyer de travailleurs migrants de Saint-Denis et Saint-Ouen et il nous parlerons de la situation avec l’arrivée de l’épidémie du covid-19.
Dans la seconde partie d’émission , nous diffusons les entretiens réalisés avec deux anciens résidents du foyer Baras à Montreuil . Il témoignerons de la réalité du confinement et des initiatives.
Dans cette émission on donne la parole aux enfermés des Centres de Rétention. La machine de démolition bat son plein et les mecs sont à bout.
On va entendre le témoignage d’une personnes transférée du Cra du Mesnil-Amelot au Cra de Oissel suite aux révoltes qui ont eu lieu les 11 et 12 avril et dont on vous parle dans une précédente émission diffusée dans L’actualité des luttes le 14 avril.
Ensuite on vous diffuse trois témoignages de personnes enfermées au CRA de Vincennes, enregistrés vendredi 17avril et qui décrivent les conditions effroyables d’enfermement alors que l’épidémie se répand. On apprend que les personnes infectées par le virus et dans un état critique ne sont pas transférée à l’hôpital.
Dans la deuxième partie d’émission des camarades font un point sur la situation des sans-papiers en Belgique, en Italie et en Grèce au temps de confinement. Bonne écoute!
Après un mois de confinement dans les prisons françaises, nous voulions faire un point. Demander aux prisonniers et à leurs familles comment ça se passe à l’ intérieur, demander à l’OIP- observatoire internationale des prisons , puis qu’il s’est fait débouter du recours qu’il avait déposé pour alerter sur la surpopulation carcérale nécessitant des libérations conséquentes et des mesures sanitaires.
Meriem avocate du 93 et membre du SAF- syndicat des avocats de France revient sur le quotidien de l’application de la justice sous covid-19 ou le droit de la défense, les possibilités de recours, ou même les libérations prévues sont remis en question. Et quand les règles du droit ralentissent ou gênent , il suffit d’en changer, vite et sans débat ni concertations… sous État d’urgence.
Depuis le début du confinement de nombreuses révoltes ont lieu dans les lieux d’enfermement. Ce week-end ce sont les prisonniers en centre de rétention qui ont pris la parole afin d’exiger leur libération immédiate ou leur expulsion : révolte au CRA de Vincennes ,du Mesnil Amelot et gréve de la faim a Oissel
Dans cette émission nous avons réunis les témoignages réalisé le 12 et 13 Avril par le Paria.fr et Abaslescras et diffusés sur parislutte.info afin de faire le suivis de ces événements.
Cette émission a été réalisé en collaboration avec nos camarades de l’envolée émission anti carcérale sur fpp 106.3
Vous pourrez aussi entendre l’interview de Brahim, postier dans les Hauts de Seine qui nous informe du suivis de leur mobilisation
Alors que nous sommes entré dans la 4eme semaines de confinement suite a l’épidémie de covid-19 , la résistance face a la casse sociale continue de s’organiser.
Le 7 Avril dernier , se tenait de manière confiné , le meeting de l’AG Interpro 92 . Dans l’émission de ce jour, nous entendrons les paroles de postière , lycéenne , enseignante et infirmières qui ont rythmé ce meeting .
La loi sur l’état d’urgence sanitaire, adoptée à marche forcée par une majorité aux ordres, est présentée comme étant d’exception mais elle a vocation à être durable et donner toujours plus de pouvoirs à la police et à l’administration, comme si la dernière loi sur l’État d’urgence de 2017, insérée dans le droit commun ni suffisait pas. Elle signe le recul de l’État de droit.
Édouard Philippe a présenté le nouvel état d’urgence sanitaire comme étant un « état d’urgence de droit commun ». Voilà un bel oxymore de l’état d’exception « de droit commun », de quoi vouloir nous rendre fous. Le premier ministre fait donc l’aveu que ces mesures ont vocation à se normaliser et que les discours d’apaisement sur le caractère temporaire et exceptionnel de ces mesures ne sont qu’une rhétorique rapidement remise en cause par les faits et l’histoire.
L’état d’urgence sanitaire de 2020 permet d’organiser le contrôle de la population et de ses déplacements. De distribuer des centaines de milliers d’amendes et d’incarcérer les multirécidivistes du déplacement sans auto certificats de sorties. En raison du flou du décret sur le confinement et de ses dérogations – les policiers, sur le terrain, vont faire preuve d’un arbitraire tout en grossièretés et mauvais traitements.
L’adoption sans aucun débat de ces mesures de contrainte individuelles révèle surtout la vision de ce gouvernement, qui ne pense pouvoir gérer la population que par la contrainte et la discipline – au besoin pénalement sanctionnée plutôt que de prendre les bonnes mesures sanitaires.
Distribuer des masques à tout la population sans distinction, tester toute la population, ouvrir des lits d’hôpitaux, réquisitionner les hôpitaux privés, les hôtels pour les SDF, libérer au moins 30000 détenus. Décréter l’exonération du paiement des loyer pendant la durée du confinement et garantir les mêmes droits à tous avec ou sans papier comme au Portugal. Voilà de vrais mesures, le reste n’est que gesticulations macabres.
Dans cette émission nous avons demandé à martin de la quadrature du net de nous informer sur les nouvelles disposition concernant la volonté de contrôle par GPS. Puis nous entendrons Adélaïde Jacquin avocate, qui détaillera les mesures de l’État d’urgence sanitaire et nous finirons par les conséquences directe de ces mesure appliquées par les patrons, le gouvernement et ses chiens de gardes avec l’exemple de la RATP avec Ahmed.
Depuis le 24 janvier , la France fait face a une épidémie sans précédent et qui poursuit son chemin sur l’ensemble de la planète .
Suite a des politiques drastique d’économie dans le système de santé , l’hôpital et son personnelles se retrouvent dans de grandes difficultés.
De Seine-Saint-Denis au Haut de France , l’épidémie du covid-19 sévit. comment les personnelles hospitaliers font face ? Quelle question sociale et politique cette pandémie sous-tend ?
Dans l’émission de ce jour , deux témoignages. Dans un premier temps , nous seront avec Yasmina , infirmière en Seine-Saint-Denis et ensuite nous entendrons Eddy , ambulancier dans les Hauts de France .
A ce moment d’épidémie et de confinement , il nous semble important de ne pas perdre de vue ce que va être la sortie de cette pandémie. au moment ou le gouvernement rend possible dans certain secteur d’allonger le temps de travail a 60 heures par semaine en plein covid-19. Quelle seront les autres gages donné au entreprises ?
C’est dans cette perspective que nous vous proposons en nouvelle diffusion l’émission du 18 Juin 2018 ou cette année la , L’ONG oxfam a rendu un rapport sur les profits des grosses entreprises du CAC 40. Ce rapport traite des profits réalisés entre 2008 et 2016, c’est à dire de la « crise » financière à nos jours.
Comment se protègent les salarié-e-s du commerce et quelle est leurs visions de leurs métiers a l’heure de l’épidémie du coronavirus ? Voici la question qui traverse l’émission de ce jour .
Nous débuterons avec un entretien réalisé avec Amar lagha délégué CGT , suite au décès de Alain Siekappen Kemayou le 21 mars dernier , Il était salarié de la société Samsic et élu de la CGT. Employé depuis 2001 au centre commercial O’Parinor (Seine-Saint-Denis).
Le second entretien sera en compagnie de Alain , boucher et délégué CGT commerce au Monoprix Gambetta.
Et nous terminerons cette émission , avec un salarié d’un magasin bio qui nous parlera de ses conditions de travail au vue de l’épidémie.
Les prisonniers se révoltent partout en France pour dénoncer le traitement désastreux du gouvernement face à la pandémie de covid 19. Le chômage et des politiques répressives ont engorgé les prisons. Les prisonniers s’entassent à 3 ou 4 dans 9m2 dans les maisons d’arrêts. La santé, là moins qu’ailleurs, ne fonctionne. C’est une véritable catastrophe sanitaire programmée!
Il faut absolument libérer massivement des prisonniers? l’annonce de Belloubet d’élargir 5000 détenus, est dérisoire.
Dans et déjà, il est tout à fait possible de faire sortir en aménagement de peine à l’extérieur tous les détenus qui purgent une peine de moins d’un an, et ils sont au moins 30000 dans ce cas… sans compter les fins de peine, les prisonniers en attente de procès et une pensée particulière pour les prisonniers malades et âgés qui sont plus encore exposés à la contagion. N’oublions pas que leurs santés c’est aussi la notre.
aujourd’hui , nous passons intégralité de cette heure avec Torya , Agente SNCF à Vaires-sur-Marne en Seine et Marne.
Dans cette entretien , elle revient sur ses engagements sociales et politiques , notamment sur le mouvement des gilets jaunes et les dernières gréves a la SNCF.
Depuis Mardi dernier , nous sommes confiné-e-s dans nos appartements et autre logis suite a l’intensification de l’épidémie de coronavirus qui sévit depuis plusieurs semaines.
Quand est il dans les lieux d’enfermement ? voici le thème de notre émission aujourd’hui , préparée avec un membre de l’équipe radio de l’émission anti-carcérale l’envolée.
Nous commencerons cette émission par des témoignages de prisonniers en centres de rétention de la région parisienne et de Lyon. Ensuite , nous entendrons trois témoignages de prisonniers de maison d’arrêt .
Voici quelques mouvements survenues il y a quelques jours
une mutinerie est en cours au centre pénitentiaire de Maubeuge. Une centaine de détenus sont concernés. Il y a de nombreuses dégradations. L’ERIS (équipes régionales d’intervention et de sécurité) de Lille se rend sur place. La police arrive également en renfort. De nombreux feux ont été déclenchés dans différentes parties de la prison. Situation très tendue sur place
une mutinerie est en cours au centre pénitentiaire de Longuenesse. Au moins 30 détenus détruisent les grillages. Ils ont également bloqué la porte de la cour de promenade afin d’empêcher les agents de l’ouvrir. L’ERIS était sur place à 16h00. Les détenus réclament plus de douche, plus de lavage du linge et le port du masque pour les agents. L’incident était clos à 16h45. 5 détenus ont été placés au quartier disciplinaire.
Incidents en cours au centre pénitentiaire de Meaux. L’ERIS de Paris se rend sur place. 57 détenus refuseraient de réintégrer les bâtiments. Vers 16h00, les détenus sont remontés après avoir eu l’information que l’ERIS arrivait. Un détenu a tenté de s’évader. Il est actuellement en garde à vue. L’incident est clos dans cette prison.
Incidents en cours au centre pénitentiaire de Nantes. Les détenus refusent de réintégrer les bâtiments. Vers 16h30, l’incident était clos dans cette prison.Incidents en cours à la maison d’arrêt de Carcassonne. 11 détenus refusent de réintégrer. L’ERIS de Toulouse est en route vers la prison.
Mutinerie en cours au centre de détention d’Uzerche. 40 détenus sont sur les toits. Une centaine d’autres sont dans des zones interdites de la prison. Les surveillants ont quitté un bâtiment en urgence qui est pris d’assaut par les détenus. La situation est très tendu sur place.
Incidents en cours à la maison d’arrêt de Moulins. Les détenus refusent de réintégrer les bâtiments. A 18H15, les détenus remontaient en cellule. Incidents clos dans cette prison.
Incidents en cours à la maison d’arrêt de Limoges. 25 détenus refusent de réintégrer. Les forces de l’ordre sont sur place. L’ERIS de Bordeaux est en route vers l’établissement.
Incidents en cours au centre pénitentiaire de Rennes-Vezin. 150 détenus refusent de réintégrer. L’ERIS de Rennes est sur Place
Incidents en cours à la maison d’arrêt de Saint-Malo. Les détenus refusent de réintégrer. À 18h10, les détenus ont été réintégrés. 2 sont placés au quartier disciplinaire. Incidents clos dans cette prison.
Incidents en cours à la maison d’arrêt de Nice. Une trentaine de détenus refusent de réintégrer. L’ERIS de Marseille est en route vers l’établissement.
Incidents en cours à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. 250 détenus refusent de réintégrer à l’issue des promenades. L’ERIS de Paris est en route vers la prison
Du 6 au 8 Mars dernier a eu lieu à Toulouse , La Cinquième Assemblée des Assemblées du mouvement des Gilets Jaunes . un rassemblement national de débat et d’échanges qui se tenait pendant ses 3 jours.
Dans l’émission de ce jour , nous entendrons les interventions et entretiens qui ont eu lieu pendant ses trois jours .
Après l’exclusion de droits de centaines de milliers chômeur·euses en Novembre, se profil une diminution du montant des allocations ! La précarité sans allocation devient la norme.
Précaires, chômeur·euses, CDD, vacataires, saisonnier·ères, RSAistes, étudiant·es, intermittent·es, intérimaires, pigistes, services à la personne, enseignant·es et formateur·rices contractuel·les… Tout le monde est concerné à court, moyen et long terme !
Pour ne pas se faire avaler par ses mesures punitives , une grande assemblée générale des précaires et des chômeur·euses se tenait ce 4 Mars à la bourse du travail de Paris et dans l’émission de ce jour , nous vous proposons l’écoute de quelques interventions de cette assemblée générale.
la deuxième coordination nationale des facs et labos en lutte a rassemblé à l’université de Nanterre les 6 et 7 mars dernier plus de 500 travailleur·ses et étudiant·es mobilisé·es, mandaté·es par des assemblées générales de 63 établissements, réunies en 154 délégations. Cette coordination a regroupé; des enseignant·es et/ou chercheur·ses, des BIAT·O·SS-IT·A, des étudiant·es, des précaires et des titulaires
Dans l’émission de ce jour , nous recevons un étudiant en master 2 en école d’urbanisme ; Anne , doctorante ; Cloé, doctorante en sociologie ; Gabriel , doctorant en économie et Cédric , chercheur titulaire en sociologie. En leurs compagnies , nous revenons sur les mobilisations suite aux attaques faites aux systèmes de solidarités du service public de l’enseignement , de la recherche et il sera également question de la précarité.
Dans la nuit du 16 au 17 janvier 2018 à Épinay sur Seine, Gaye a été abattu injustement dans son véhicule. Les policiers se sont acharnés en tirant à 8 reprises et Gaye a reçu une balle dans la tête alors qu’il ne représentait aucune menace alors qu’il ne commettait aucune infraction, aucun délit, aucun crime.
Le 9 Février dernier à champs sur marne fut organisé par Vérité et Justice pour Gaye , une rencontre avec différente familles concerné par des exactions policières. Dans l’émission de ce jour , nous entendrons quelques interventions qui ont ponctué cette journée.
Depuis le jeudi 27 février, plusieurs dizaines de travailleurs sans-papiers occupent, avec leur syndicat CNT-Solidarité ouvrière, le chantier EIFFAGE du nouveau siège du groupe de médias “Le Monde”, 67 avenue Pierre Mendès-France (Paris 13e).
Dans l’émission de ce jour , nous recevons les grévistes du chantier et leur représentant syndical pour faire le point sur la situation et les perspectives de luttes.
Depuis quelques années les grèves se multiplient dans la sous-traitance et particulièrement dans le secteur du nettoyage hôtelier. A plus de 7 mois de grève les salarié-e-s de la sous-traitance de l’IBIS Clichy Batignolles, en lutte contre leur surexploitation, conviaient à les soutenir devant Le siège du Groupe ACCOR à Issy-les-Moulineaux 3 mars dernier
Dans ce premier temps émission , nous vous proposons l’écoute du reportage réalisé ce 3 Mars
la répression est à l’œuvre à la RATP, la Direction persiste et signe en déférant devant le Conseil de Discipline des agents du dépôt de Vitry et principaux animateurs de la grève depuis le 5 décembre. Dans cette seconde parties d’émission , nous allons entendre le reportage réalisé ce 5 Mars lors du Conseil de Discipline.
le projet de réforme des retraites et les propositions concernant la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR), mais aussi la loi de transformation de la fonction publique et la réforme de l’assurance-chômage, s’inscrivent dans des attaques globales contre les services publics et les protections sociales. Ce 5 Mars se tenait une manifestation à Paris des facs et labos en lutte et c’est le reportage réalisé ce jour la que nous vous proposons dans cette troisième parties.
Ensuite , nous entendrons quelques interventions issue de la 5eme coordination nationale qui tenait ce 7 Mars à Paris pour donner une suite au mouvement contre la réforme des retraites.
Dans l’émission de ce jour , nous recevons Eduardo et Bobby , éboueurs a la ville de Paris . En leurs compagnie , nous revenons sur le mouvement contre la réforme des retraites et de la gestion du domaine de la propreté a la ville de Paris
Le 10 Janvier dernier , se tenait à Paris la projection du film: Derrière les fronts Résistances et résiliences en Palestine, en présence de La réalisatrice du film Alexandra Dols , de Samah Jabr, écrivaine et psy palestinienne et de Abaher El Sakka sociologue à l’université de Birzeit (Palestine)
à l’issue de la projection , a eu lieu une discussion et c’est cet échange que nous vous proposons dans l’émission de ce jour.
Pour plus information sur le réseau de santé mentale en Palestine https://www.facebook.com/frpalmhn/
La trentaine de salariés qui travaille pour la société EIFFAGE et ses sous-traitants CICAD et GOLDEN CLEAN occupe, avec leur syndicat, la CNT-Solidarité ouvrière, depuis le jeudi 27 février le chantier du nouveau siège du journal Le Monde, 67 avenue Pierre Mendès-France (Paris 13e).
Dans ce reportage réalisé ce vendredi matin , nous entendrons les paroles des salariés du chantier et de leurs soutiens.
Dans le second reportage , nous serons sur le rassemblement Samedi dernier devant l’assemblée national , suite a l’annonce faite par Édouard Philippe de l’utilisation de l’article 49-3 pour faire passer la réforme des retraites.
Dans l’émission de ce jour , nous recevions des lycéennes et lycéens d’Ivry sur Seine et de Paris.
En leurs compagnies , nous reviendrons entre autres sur les mobilisations contre les E3C les épreuves commune de contrôle continue et les perspectives pour la rentrée.
En 2019 , le gouvernement d’Édouard Philippe a amorcé son travail sur la réforme du régime des retraites avec notamment des conséquence notoire pour les professions indépendantes comme les avocats.
Pour parler des conséquences et des mobilisations qui en découlent , nous recevons Meriem Ghenim , avocate en Seine Saint Denis et membre du Syndicat des avocats de France
Nadia a fait 60 jours de gréve reconductible. Non syndiquée, elle a pris une part active dans la mobilisation contre la “réforme des retraites”. Une nouvelle génération de militantes déterminées, Gilet jaune, grévistes, souvent habitantes des banlieues. C’est le portrait de l’une d’entre elle que nous vous proposons dans l’émission de ce jour.
MRErdogan a clairement exposé ses plans de nettoyage ethnique avec l’invasion et l’occupation militaires des régions du Kurdistan syrien. La guerre dans cette région du Kurdistan provoquera l’exode de centaines de milliers de civils fuyant les combats et une grave crise humanitaire.
Le 9 octobre 2019, l’armée turque et ses mercenaires djihadistes lançaient une opération d’invasion contre le nord de la Syrie. Les allégations d’utilisation d’armes chimiques par l’armée turque durant cette opération ont fait le tour des médias. Elles ont par ailleurs été étayées par plusieurs experts.
Le 27 janvier dernier à la Mairie du 2e arrondissement de Paris , Le Conseil démocratique kurde en France conviait à une conférence de presse sur “l’utilisation par la Turquie d’armes chimiques au nord de la Syrie“, en présence entre autre , du Docteur Abbas Mansouran, microbiologiste et épidémiologiste.
Dans l’émission de ce jour , nous allons entendre une grande partie de cette conférence de presse.
Alors que l’hôpital hurle sa souffrance, une nouvelle grande manifestation nationale des hospitaliers se tenait Le 14 Février dernier avec comme slogan « déclaration d’amour »à l’hôpital public… Nous seront avec ce reportage dans la manifestation parisienne qui partait de l’hôpital Necker jusqu’à l’hôpital Pitié Salpêtrière
Ce 17 février, le projet de loi sur les retraites est présenté à l’assemblée nationale. Alors que depuis le 5 décembre, de nombreux secteurs ont fait la démonstration de leur force, notamment la RATP et la SNCF.
Dans ce second reportage , nous auront quelques échos de cette manifestation qui se tenait de l’opéra de Paris en direction de l’assemblée nationale.
Nous terminerons cette émission par un entretien réalisé avec un salarié du BTP qui parle de ses conditions de travail et des mobilisations a venir dans le secteur du bâtiment .
Dans cette première semaine de Février des mouvements de gréve et de blocage ont eu lieu dans divers lycées contre les E3C Les épreuves communes de contrôle continue
Dans l’émission de ce jour , nous vous proposons en nouvelle diffusion les reportages réalisés le 3 Février dernier Au lycée Mozart du Blanc-Mesnil (93) et sur plusieurs lycée d’Ivry le 5 Février
« Les cheminots et les agents de la RATP rançonnent la France pour la pressurer davantage », s’alarmait Franz-Olivier Giesbert dans le Figaro du 4 décembre… 1995. Vingt-quatre ans plus tard, alors que la grève fait rage contre le projet de réforme des retraites, l’orthodoxie médiatique n’a pas bougé d’un iota. Et l’on dirait même plus : les contre-réformes menées au cours des vingt dernières années ont été autant d’occasions, pour les tenants du système médiatique, d’affûter leurs harangues sur tous les tons et tous les canaux. »
Dans l’émission de ce jour , nous vous proposons un montage réalisé à l’occasion de la rencontre-débat organisée le dimanche 9 février 2020 par ACRIMED suite à la parution du n°34 de la revue Médiacritiques .