Technocentre Renault Guyancourt: les agents d’entretien sont en grève, balayés par le télétravail et la réduction des coûts/Boubacar et Fadigui, tués au pont-neuf par un policier

Mercredi 4 mai 2022 Guyancourt, Technocentre Renault

Renault sous traite à un prestataire de service l’entretien de ses bâtiments. Les salariés, parfois depuis plusieurs dizaines d’années, qui interviennent dans le centre de recherche et de développement du groupe automobile sont en grève depuis mardi 3 mai. Suite à une réduction d’activité, conséquence du développement du télétravail et de la réduction des coûts.

Le jeudi matin, la direction de Renault du Technocentre, à décider de désactiver les badges d’accès au centre des agents d’entretien, réduisant par là-même leur droit de grève.

En plus de la réduction de leur temps de travail dû au télétravail, La direction ferme une partie du Technocentre le vendredi, ce qui ampute d’environ 30 % de leur salaire.

Concernant l’entretien du centre de recherche et de développement, le nouveau contrat prendra effet le 20 mai prochain. Le recours à la sous-traitance permet à de nombreuses boites de se dédouaner des conditions de travail et de salaire de leurs salariés. Elle se défausse en prétendant ne peut pas pouvoir intervenir dans la gestion des ressources humaines de PEI, entreprise installée dans l’Essonne qui intervient dans plus de 2 000 entreprises en France.

Pour nous parler de cette grève à Renault Guyancourt, nous seront en compagnie de Jérôme et Mohamed.

Le soir de la réélection d’Emmanuel Macron, au cœur de Paris, sur le Pont Neuf, près de la Préfecture, un policier a ouvert le feu avec une arme de guerre ; un fusil d’assaut HK G36, qui équipe l’armée allemande et permet de tirer en rafales. Pourquoi utiliser une telle arme contre des civils ? Pour un simple refus d’obtempérer. Deux frères, noirs, meurent sur le coup. Un troisième homme est blessé par balle au bras. Le policer à tirer une dizaine de cartouches en deux temps. Le fou de la gâchette est âgé de 24 ans et avait six mois d’expérience. Voilà à qui l’État français confie des armes aussi puissantes et dangereuses, avec l’autorisation de s’en servir.

Le tireur plaide la « légitime défense », récit immédiatement repris en boucle par les médias. Pourtant, les juges viennent de le mettre en examen pour « homicide volontaire » après sa garde à vue. Ils estiment qu’il a tiré pour tuer, tiré avec l’intention de donner la mort. Néanmoins, le tireur est ressorti libre, en attendant les suites de l’enquête. Les syndicats de policiers d’extrême droite dénoncent une décision « inadmissible » et ont appelé à manifester pour élargir encore le cadre de la légitime défense. Chaque crime policier est pour eux l’occasion de réclamer plus de droits.

Cette affaire intervient alors que le nombre de tirs à balles réelles par la police française explose. Cet été, deux voitures ont été criblées de balles à Rosny et Stains par des agents qui n’étaient pas en danger, comme l’ont montrées les images de ces scènes. Idem fin mars, à Sevran : un père de famille tué d’une balle dans le dos. Il n’est plus exceptionnel de voir les forces de l’ordre sortir leur arme à feu, voire de tirer sur des véhicules ou des individus.

En 1995, lorsqu’il est distribué pour la première fois par le gouvernement français, le Flash-Ball Super Pro est pourtant présenté comme une « arme anti-bavure », qui permettrait au policier de tirer sans tuer, et d’éviter d’avoir à sortir leurs pistolets. C’est tout l’inverse qui s’est passé.

Durant la campagne présidentielle de 2012, les policiers manifestaient, en arme, dans des véhicules de police, sur les Champs-Élysées, pour réclamer une «présomption de légitime défense» – autrement dit, un permis de tuer –, revendication vite reprise par les candidats du FN et de l’UMP. La mesure sera mise en œuvre par le Parti Socialiste qui «assouplit» en 2017 le cadre de la légitime défense et étend l’usage des armes à feu. Les policiers obtiennent le droit de tirer non seulement pour se défendre, mais aussi pour «défendre un lieu sous leur responsabilité» – on devine les interprétations qui peuvent être faites dans le cas de luttes contre des grands projets –, «lorsqu’ils doivent empêcher un détenu de s’échappe» mais aussi «pour empêcher une voiture de se soustraire à un contrôle».

En 2020, dans le cadre de la «Loi de sécurité globale», le Parlement vote l’autorisation, pour les policiers, de se promener armés dans les établissements publics. Une mesure qui s’inscrit dans la continuité de l’État d’exception : dès 2015, le gouvernement avait autorisé les policiers à garder leurs armes en dehors du travail.

Le geste de brandir une arme à feu n’est plus exclu. Les tirs pour de simples contrôles non plus. À présent, c’est un double homicide au fusil d’assaut. Et ces gens sont armés 24h/24. Entre 2016 et 2019, les tirs à balles réelles par la police ont augmenté de 54%.

En 2019, le Ministère de l’Intérieur commandait simultanément plusieurs dizaines de milliers de grenades pour le maintien de l’ordre et 25 millions de cartouches destinées aux fusils d’assaut. Les autorités elles-mêmes s’alarment dans une note confidentielle du nombre de tirs « accidentels » ou commis « par imprudence » avec ces armes de guerre.

Dans cette seconde partie d’émission, nous serons avec Christian, de l’assemblée des blessées et en sa compagnie, nous reviendrons sur la contre-manifestation en réponse à celle organisée par les policiers plaidant la « légitime défense ».

CONTRÔLES ET RADIATIONS A PÔLE EMPLOI ET A LA CAF

Dessin issu de https://lepoing.net/

Alors que plus d’un million de chômeuses et de chômeurs voient leurs allocations brutalement réduites et que l’ouverture des droits de près d’un demi-million de personnes est remise en cause, le gouvernement Macron fait encore du renforcement des contrôles un objectif politique !

Depuis le 1er octobre par décret et avec validation d’un Conseil d’État qui s’est couché, la réforme – ou casse – de l’indemnisation du chômage frappe de façon hallucinante et inégale les plus précaires.

Les dysfonctionnements graves se multiplient à Pôle emploi, où les demandeurs d’emploi sont gérés par des boites privées en sous-traitance, ou par des applications ou algorithmes conçus apparemment pour calculer les droits au rabais, multiplier les erreurs au détriment des plus précaires, tandis que s’accumulent les radiations abusives et illégales (pour non recherche d’emploi par internet alors qu’il ne peut y avoir d’obligation numérique vu la fracture numérique) et prélèvements de trop perçus non fondés.

Le 10 février dernier, Un collectif unitaire composé du comité national CGT chômeurs-précaires, CGT Pôle Emploi, SUD Emploi, SUD Culture Solidaires…), d’associations de chômeurs/ses, et d’associations comme la Quadrature du Net organisait une AG contre le contrôle des chômeurs (CAF et Pôle emploi).

Dans l’émission de ce jour, nous entendrons une partie des témoignages et les propositions d’action issue de cette assemblée générale.

CHRONOPOST : la lutte pour la régularisation continue


Il y a deux ans, en août 2019, le Ministère du Travail avait été obligé de lancer une enquête sur les pratiques de Chronopost et Derichebourg. À la faveur de la fin du conflit et de la crise sanitaire, l’État a lui-même liquidé son enquête.

Alors la Poste a continué à surexploiter les Sans-papiers exactement de la même manière, c’est-à-dire par le moyen d’une cascade de sous-traitance à l’intérieur de l’agence. Derichebourg n’a pas été inquiété et a continué à s’occuper d’une partie du tri et de la manutention en y employant des travailleurs sans-papiers.

Mais aujourd’hui affolés par la lutte de DPD Coudray, ces piteux patrons de La Poste ont lancé, dans la précipitation à Alfortville de pseudos contrôles de « papiers », et ont mis brutalement à la porte des « sans-papiers » qu’ils ont recrutés et exploitent pourtant en toute connaissance de cause depuis plusieurs années pour certains !

La lutte a repris devant Chronopost depuis le 3 décembre 2021 (piquet évacué par la police), et qu’un piquet permanent est installé devant l’agence depuis le 7 décembre. Plusieurs dizaines de travailleurs sont présents jour et nuit sur le piquet, malgré les conditions hivernales.

Le 29 décembre dernier, se tenait une manifestation qui partait de l’agence Chronopost Alfortville pour aller jusqu’à l’agence Colisposte qui se trouve à Créteil. Dans cette émission, nous entendrons le reportage réalisé ce même jour avec les interventions entre autre, des grévistes de Chronopost, de DPD Coudray-Montceau également filiale colis de La Poste et de RSI, intérimaires de cette société qui sont en luttes à Gennevilliers

En soutien aux grévistes de Chronopost, Le CTSPV, la fédération SUD PTT et l’Union Solidaires appellent à se rassembler devant le siège de Chronopost, 3 Boulevard Romain Rolland 75014 Paris, ce jeudi 6 janvier à 11 h 00. Métro porte d’Orléans ligne 4

DPD DE COUDRAY : Des postiers sans- papiers en grève

Ce lundi 15 novembre, 70 salariés sans titre de séjour travaillant pour DPD de Coudray-Monceau ou pour d’autres établissements de filiales de la Poste, se sont mis en grève.

Des postiers sans-papiers toujours plus nombreux
Avec les limitations d’accès aux magasins causées par la pandémie, le
trafic du colis a explosé. Les plateformes se font une concurrence sauvage
entre Amazon, Prisme, Geodis… et la Poste. La Poste avec ses différentes
divisions ou filiales utilise, elle aussi, la main-d’œuvre sans papiers.

Alors Sans-papiers et postier, est-ce possible ? La direction de la Poste dira
que non. Non, la Poste se contente de sous-traiter. La Poste, sous le nom de
Viapost, Coliposte, DPD ou Chronopost, sous-traite à des sociétés qui gèrent
les colis sur les lignes de roulement. Dans ses garages et ses plateformes, là
Poste et ses filiales ont confié une partie du travail à des entreprises de
manutention pour contourner l’organisation syndicale et intensifier le travail.

Au DPD de Coudray Montceaux, la société sous-traitante s’appelle
DERICHEBOURG. Cette société a fabriqué une entreprise d’intérim,
DERICHEBOURG INTERIM.

DERICHEBOURG se loue ainsi du personnel à lui-même, avec un artifice juridique organisé par l’État. Cela rajoute un niveau de sous-traitance qui rend encore plus difficile la défense de nos droits.

Il y a environ 200 Sans-papiers dans cette immense plateforme et il n’y a que des travailleurs sans titre qui arrivent à supporter ces conditions de travail sans fuir à toutes jambes.

Des conditions de travail de plus en plus abominables
Tout le travail doit se faire dans la vitesse. Le déchargement d’un camion doit se faire en quinze minutes avec des colis qui peuvent atteindre 50 kg. À ce régime, tout le monde a les reins en compote et si vous ne pouvez plus,
ce n’est pas grave. Votre mission sera interrompue et DERICHEBOURG trouvera quelqu’un d’autre. De toute façon, les missions d’intérim ne durent qu’une semaine, alors que nous pouvons être sur le même travail pendant des mois. L’argument pour l’utilisation de l’intérim est toujours le même « hausse temporaire de l’activité ».

Les horaires changent tout le temps, sans délai de prévenance. Nous pouvons faire des heures dans les transports en commun pour venir au travail et qu’on nous dise qu’on n’a pas besoin de nous. Quand des camions sont en retard, quand une machine de tri est en panne, notre temps de présence est transformé en pause non payée. Cela peut durer des heures. Les horaires sont totalement impossibles.

Le travail peut se terminer à minuit trente, nous obligeant à nous rendre à pied jusqu’à la gare de Corbeil, puis prendre deux bus de nuit pour rentrer. Certains jours, on peut passer 6 ou 7 heures dans les transports en commun.

Nous vous proposons un reportage réalisé, le mardi 30 novembre sur le piquet de grève des postiers sans papier de DPD et nous entendrons les grévistes et des syndicalistes, nous parler de la situation a DPD.

Pour soutenir les grévistes :DPD, Chemin de Chevannes, 91830 LE COUDRAY MONTCEAUX

LES ÉBOUEURS DE PARIS EN ACTION/ VICTOIRE DES FEMMES DE CHAMBRES / GRÈVE SUR UN SITE DE SOUS-TRAITANCE AUTOMOBILE

Dans l’émission de ce jour, nous vous proposons trois sujets.

Nous débuterons cette émission avec un entretien réalisé ce 25 mai avec un salarié de la ville de paris sur l’action mené ce même jour dans la capitale par les éboueurs contre le passage a un service privé de la voirie. Cela fait suite au mouvement social a la ville de paris contre le projet d’augmentation du temps de travail.

En seconde partie d’émission, nous reviendrons sur la victoire des femmes de chambre de l’hôtel Ibis Batignolles après plus de 22 mois de grève. À cet effet, nous entendrons les grévistes de l’hôtel Ibis revenir sur cette fin de grève victorieuse.

Et nous terminerons cette émission, par un reportage réalisé le 22 mai dernier a Bezons dans le val d’Oise, lors d’un rassemblement sur le site de l’entreprise PPG. PPG est spécialisée dans la production de mastics pour l’aéronautique et l’automobile. En effet, La direction de PPG Sealants Europe a annoncé un plan de cessation d’activités lors d’un comité social et économique (CSE), le 1er octobre 2020. La fermeture définitive est annoncée pour l’été 2021.

Une partie des salariés est en grève depuis le 29 avril et nous entendrons les prises de paroles et interviews réalisées ce 22 mai 2021, lors du rassemblement devant le site, qui réunissait plusieurs entreprises en luttes.

Bonne écoute !

ZADIMANCHE SUR LE TRIANGLE DE GONESSE / AÉROPORT DE PARIS ET LA SOUS-TRAITANCE

21 MARS 2021 ; triangle de Gonesse

Le dimanche 7 mars 2021, une « Zadimanche » était organisée par le collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG) comme tous les 15 jours.

Ce 7 mars, c’était une ZADimanche « mobile » qui était prévue, puisque L’établissement public foncier d’Île-de-France (EPFIF) a totalement défoncé, avec des tranchées d’environ un mètre de profondeur le terrain sur lequel notamment la Fête des Terres de Gonesse se tenait une fois par an.

Malgré l’évacuation de la « ZAD du Triangle de Gonesse » le 23 février, la lutte continuait pour défendre ces terres agricoles contre le projet de gare en plein champ amenant la bétonisation et l’urbanisation sur ces terres agricoles.

Ce 21 mars 2021, premier jour du printemps, se tenait une nouvelle zadimanche avec l’objectif de faire reculer les différents pouvoirs sur le projet de construction de la gare en plein champs dans le Triangle de Gonesse.

Ce premier reportage, nous permettra de revenir sur cette journée du 21 mars avec des prises de paroles et entretiens réalisé sur le triangle.

Le 18 mars dernier un rassemblement à l’initiative de l’intersyndicale de l’aérien, était organisé sur le site aéroportuaire de Roissy pour dénoncer la destruction de plusieurs dizaines de milliers d’emplois, essentiellement dans la sous-traitance dont Air France et ADP (Aéroport De Paris) sont les donneurs d’ordre bénéficiaires.

Dans cette seconde parties d’émission, vous pourrez entendre plusieurs interviews des salariés présents et une partie des prises de paroles qui avaient lieu ce jour.

NON A L’ARMEMENT DE LA POLICE MUNICIPALE / HÔTEL IBIS

Mobilisation à St denis contre l’armement de la police municipale et l’escalade sécuritaire et des femmes de chambre de l’hôtel ibis devant ACCOR.

Dans la première demi heure de cette émission vous entendez le reportage réalisé Le jeudi 10 septembre, alors que le Conseil Municipal soumettait au vote ces délibérations, un rassemblement était appelé par des collectifs locaux devant l’Hôtel de ville de St Denis. En effet la nouvelle majorité PS et Génération.s élue à la ville de Saint-Denis a choisi son camp : ce sera celui de l’escalade de la répression (arrêté anti-chicha ; interpellation de vendeurs à la sauvette) et la surenchère policière. La Mairie de Saint-Denis consacre donc le premier acte de son mandat à armer sa Police Municipale de Flashball et d’armes de poing de catégorie B, créer une brigade cynophile (chiens) et faire l’acquisition d’un drone de surveillance. .

Dans la deuxième demi heure vous entendrez le reportage réalisé devant le siège d’ACCOR le 8 septembre alors que les femmes de chambre toujours en grève venaient dire leur détermination a poursuivre la lutte pour demander de meilleur condition de travail et internalisation du métier  des femmes de chambre de l’hôtel Ibis .

HÔTEL IBIS EN GRÉVE / SANCTION A LA RATP / FACS ET LABOS EN LUTTES / LA RÉFORME DES RETRAITES

Depuis quelques années les grèves se multiplient dans la sous-traitance et particulièrement dans le secteur du nettoyage hôtelier. A plus de 7 mois de grève les salarié-e-s de la sous-traitance de l’IBIS Clichy Batignolles, en lutte contre leur surexploitation, conviaient à les soutenir devant Le siège du Groupe ACCOR à Issy-les-Moulineaux 3 mars dernier

Dans ce premier temps émission , nous vous proposons l’écoute du reportage réalisé ce 3 Mars

la répression est à l’œuvre à la RATP, la Direction persiste et signe en déférant devant le Conseil de Discipline des agents du dépôt de Vitry et principaux animateurs de la grève depuis le 5 décembre. Dans cette seconde parties d’émission , nous allons entendre le reportage réalisé ce 5 Mars lors du Conseil de Discipline.

le projet de réforme des retraites et les propositions concernant la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR), mais aussi la loi de transformation de la fonction publique et la réforme de l’assurance-chômage, s’inscrivent dans des attaques globales contre les services publics et les protections sociales. Ce 5 Mars se tenait une manifestation à Paris des facs et labos en lutte et c’est le reportage réalisé ce jour la que nous vous proposons dans cette troisième parties.

Ensuite , nous entendrons quelques interventions issue de la 5eme coordination nationale qui tenait ce 7 Mars à Paris pour donner une suite au mouvement contre la réforme des retraites.

Nous conclurons cette émission , par la lecture d’un texte d’appel en vue de l’Assemblée de riposte aux violences d’État qui de tiendra ce 15 Mars sur le site Les Grands Voisins Ancien Hôpital Saint-Vincent de Paul Salle la Pouponnière 74, avenue Denfert-Rochereau

SOUTIEN AUX GREVISTE DE L’HOTEL IBIS BATIGNOLLES

Dans l’émission de ce jour nous allons vous diffuser des interventions réalisé lors du forum de la lutte organisé le 22 novembre dernier à la maison des étudiants du Paris 8 lors d’un moment d’échange entre les différents secteur en lutte.

Cette soirée était une soirée de soutien pour mettre en avant le combat de la sous traitance, celle de la lutte des femmes mais aussi une occasion de faire un appel a la greve du 5 décembre.

GRÉVE A L’HÔTEL IBIS BATIGNOLLES


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les salarié-e-s de la sous-traitance de l’ IBIS BATIGNOLLES , dans le 17eme arrondissement de Paris , sont en grève illimitée depuis le Mercredi 17 juillet . Ce mardi 6 août la CGT HPE , organise une cérémonie de remise des chèques de solidarité aux grévistes.

Ce fut l’occasion de rencontré les grévistes et leur soutien pour parler de ce mouvement sociale a l’hôtel IBIS BATIGNOLLES qui appartiennent au groupe ACCOR ARENA.