Supporters of Cameroonian presidential candidate Issa Tchiroma, who claimed victory in the October 12 presidential election, carry signs and a Cameroonian flag during a protest in New Bell neighbourhood, Douala, Cameroon, October 26, 2025. The signs read: “We are determined for change” and “We no longer want dictatorship”. REUTERS/Zohra Bensemra
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Ce lundi 27 octobre, le Conseil constitutionnel du Cameroun a proclamé la réélection de Paul Biya. À 92 ans, il est le plus vieux chef d’État du monde et prolonge une présidence ininterrompue de 41 années pour sept nouvelles années – qui prolongent neuf ans de fonction de premier ministre. Officiellement, il aurait récolté 53,66 % des suffrages. Avant même cette annonce et depuis les élections, des manifestations se tenaient dans plusieurs villes contre le gouvernement, dénonçant sa corruption et la fraude électorale, malgré une répression violente. Pour revenir sur cette actualité, nous sommes en direct aujourd’hui dans les studios de FPP avec Augusta Epanya, coordinatrice de la Dynamique Unitaire Panafricaine et militante de l’UPC-Manidem (Union des Populations du Cameroun-Manifeste National pour l’instauration de la Démocratie).
Pour les 80 ans de la sécurité sociale, une journée de rencontres, débats et présentation de luttes est organisée de 9h30 à 18h30 à la Bourse du travail de Paris (salle hénaff ). Nous sommes donc ce jour en plateau avec Joëlle et Roger, (membre de l’assemblée des gilets jaunes de Paris sud et Belleville), afin de revenir sur l’histoire de la sécurité sociale et les différentes attaques qui ont déjà été menées à son encontre. Une occasion de revenir sur la nécessité de la défendre face aux différentes réformes budgétaires que l’état cherche à imposer malgré la gronde sociale de cette rentrée.
A l’occasion de la mobilisation du 10 septembre, nous sommes aujourd’hui en direct de nos studios, afin de recueillir un ensembles de témoignages sur la matinée et vous diffusez les rendez vous de l’après-midi.
Vous pourrez donc entendre (dans l’ordre de passage):
Stéphane et une salariée de Sanofi en gréve
Nadia pour le blocage de la Porte d’Orléans et le rassemblement au techni-centre de Châtillon
Christophe pour Tours
Miguel et Joël pour l’occupation de l’hôpital Tenon et le rassemblement de Gare du Nord
Adrien et Théophile pour le centre Bus de Lagny, la porte de Montreuil, et le rassemblement de la place de la République (appelé par la marche des solidarité)
La diffusion d’un reportage réalisé avec deux étudiantes sur la Porte d’Italie
Lors de la semaine anti- impérialiste ” organize, fight, win” Paris, qui se déroule à Paris du 2 au 8 juin, nous avons pu réaliser un plateau radio lors du vernissage de l’exposition ” De l’intérieur : Héritage et mémoire des luttes anti impérialiste à Paris” que nous vous diffusons aujourd’hui.
Cette semaine, organisé à l’initiative de plusieurs collectifs engagés dans la lutte contre le fascisme et l’impérialisme, à l’occasion de l’hommage rendus à la mémoire de notre camarade Clément Meric, tué par des neonazis il y a 12 ans, vise à transformer ce moment de mémoire en une initiative stratégique pour refonder un front anti-impérialiste et se poursuit avec de nombreux événements tout au long de la semaine.
Dans cette émission en direct, nous recevions des agents syndiqués de l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques (Insee) avec lesquels nous nous entretenions de la répression syndicale au sein de l’institution.
Alors que sous la direction de Jean-Charles Naouri, l’ancien PDG du groupe Casino, la dette, c’est élevée de près de 10 milliards d’euros et pour tenter de renflouer les caisses afin de diminuer la dette, deux principaux et potentiels repreneurs, le milliardaire Daniel Křetínský et 3F (composé du trio Xavier Niel, Matthieu Pigasse et Alexandre Zouari qui est l’actuel dirigeant du groupe TERACT) ont fait des propositions. La proposition de 3F de 450 millions d’euros en montant converti en fonds propres n’apportait pas plus de garanties.
Sans surprise, les ventes de plusieurs magasins, dont récemment 180 à Intermarché qui devaient faire baisser la dette, font constater son explosion. Une fois de plus, les interrogations circulent parmi les salariés : comment ces fonds ont-ils été utilisés et que sont-ils devenus ?
Dans les magasins Monoprix, filiale du groupe Casino, les salarié-e-s, doivent se serrer la ceinture. Malgré cela, les actions se multiplient. Il y a quelque temps, se sont tenu les samedis de la colère avec envahissement des magasins.
Mais la direction, ne l’entend pas ainsi, puisqu’elle décide d’assigner en justice, Alain Sylvère Tsamas, délégué et représentant syndical CGT de Monoprix, au tribunal de Nanterre le 14 mai 2025. Il fait face à des représailles pour avoir dénoncé un cas de harcèlement moral au sein de l’entreprise.
C’est donc avec Alain que nous passerons cette heure d’émission en direct. Dans la première partie, nous reviendrons sur la situation du groupe Casino et des magasins monoprix, avec notamment, le témoignage d’une salariée.
Et dans la seconde partie de l’émission, nous reviendrons avec Alain, sur les raisons de son assignation au tribunal. Rappelons que S’il est reconnu coupable par le tribunal, il pourrait écoper d’une amende pouvant aller jusqu’à 12 000 euros d’amende.
RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN DEVANT LE TRIBUNAL DE NANTERRE CE MERCREDI 14 MAI À 12 H 30. ENTRÉE TRIBUNAL 14H 179-191 AVENUE JOLIOT CURIE.
Le 3 janvier 2022, un mouvement de grève a eu lieu à l’EHPAD-établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes-du château de Neuville à Neuville-sur-Oise dans le Val-d’Oise. Les infirmières de cet établissement, dénoncer alors les mauvaises conditions de travail et la maltraitance envers les personnes âgées. Cet EHPAD était détenu par une famille qui avait déjà plusieurs établissements, notamment dans l’Oise. Cette grève durera 133 jours. Dans ce genre d’établissement, il est difficile de faire respecter le droit syndical. C’est ce qu’a vécu Siham TOUAZI infirmière dans cet EHPAD, pendant 12 ans et déléguée CSE (comité social et économique) et déléguée syndicale CGT. Des intimidations de plus en plus forte sur les grévistes. La direction a usé de toutes les stratégies pour nuire aux grévistes.
Diffusion d’un tract contre les grévistes auprès des habitants de Neuville sur Oise, des mails diffamatoires à destination des familles et du personnel. Une pétition orchestrée par la direction, signée sous la contrainte pour un certain nombre de salariés et affichée à l’entrée de l’établissement au vu de tous. Des banderoles ont été fabriquées par des non grévistes sous les ordres de la direction et accrochées sur les murs extérieurs de l’EHPAD. Des poursuites ont été engagées pour retirer le mandat DS CGT et une mise en demeure a été adressée par courrier recommandé pour propos diffamatoire.
Siham TOUAZI, quant à elle, se voit signifié quatre mises en examen pour propos diffamatoires. Dans cette affaire, il y a aussi la question de la liberté de la presse. En effet, Eugénie Barbezat, journaliste a L’humanité et animatrice de l’émission Liberté sur parole sur la radio cause commune et également poursuivie pour diffamation lors de propos tenu dans son émission. Siham et Eugénie sont poursuivies pour diffamation par l’ex-direction de l’EHPAD du château de Neuville et le procès se tiendra ce jeudi 6 février 2025 au tribunal de Pontoise.
À quelques jours, du procès, nous recevons dans nos studios, Siham et Eugénie, pour revenir sur cette grève, la détermination avec laquelle elle a été menée et pour qui ce procès sera un moment politique important et doit servir à ce que les citoyens prennent connaissance des politiques mises en œuvre par les EHPAD au détriment de la santé et de la sécurité, mais aussi de la liberté d’expression des travailleuses-travailleurs et de leurs résidents-résidentes.
Dans cette émission, vous sera présenté par Guy Dardel et Lina Murad des ouvrages en prévision des fêtes de fin d’année. Nous commencerons par Tombéza de Rachid Mimouni, puis enchaînerons avec Les années Lula et Les Américanoïaques de Serge Rezvani. Nous enchaînerons avec Les Deux Visages de la résilience de Boris Cyrulnik, revenant sur la réutilisation dans les médias et par le personnel politique principalement de la notion de résilience qu’il a développé. S’en suivra une présentation et un commentaire du livre Storytelling de Christian Salmon. Ce sera ensuite le tour de Seul dans Berlin de Hans Fallada, et qui donne à lire l’histoire fictive du quotidien d’une famille allemande pendant le régime nazi en 1940 ; avant d’enchaîner avec La fabrique du complot de Miguel Chueca, ce livre-ci, une enquête historique, revenant sur les storytelling développé à l’occasion de l’incendie Reichstag, le siège du Parlement allemand, où à cette suite nazis et communistes ont développé deux thèses du complot. Nous terminerons enfin par Flingue, conscience et collectif de Ulrik Meinhof et Au pays de Bernie Sanders, enquête sur une autre Amérique.
Nous avons invité L’OIP (l’Observatoire International des Prisons) pour parler du durcissement constant des politiques pénales, que les gouvernements successifs accentuent, conduisent déjà à des niveaux de surpopulation carcérale sans précédent : plus de 127% d’occupation en moyenne dans les prisons françaises ; près de 154% dans les maisons d’arrêt, où sont incarcérées près de sept personnes détenues sur dix, en attente de jugement ou condamnées à des peines inférieures ou égales à deux ans ; plus de 200% dans au moins dix-sept quartiers de détention. Les conditions de détention sont de plus en plus indignes, avec des personnes détenues qui s’entassent à deux ou trois dans des cellules exiguës, et 3 609 d’entre elles qui dorment sur des matelas de fortune posés à même le sol[1]. L’accès aux soins, aux activités et à l’accompagnement est toujours plus illusoire, aux antipodes de l’objectif de réinsertion fixé par la loi. Les conditions de travail du personnel pénitentiaire sont si dégradées que les vacances de poste sont légion.
La seule réponse face aux désastre des politiques pénales consiste à construire de nouvelles prisons, cette politique immobilière n’a fait que permettre d’incarcérer toujours plus. Chaque mois la Franc explose son record de taux d’incarcération. Entre 1990 et 2024, le nombre de places de prison a augmenté de 25 152, et celui des personnes détenues de 30 477. Les prisons françaises enferment déjà près de 4 000 personnes de plus que le nombre de places prévu à l’horizon 2027. En phagocytant le budget de l’administration pénitentiaire au détriment de la rénovation des prisons déjà existantes, du développement des dispositifs d’insertion et de l’accompagnement des personnes détenues, cette politique est en outre largement contre-productive. Le nombre de prisonniers pour 100 000 habitants et la durée de détention moyenne ont doublé en quarante ans – sans rapport avec les courbes de la délinquance. Que toujours plus de comportements sont passibles d’emprisonnement et que les peines encourues ne cessent de s’alourdir. Et malgré les faits l’opinion publique, matraquée par les mensonges médiatiques est amenée à penser que la justice comme trop laxiste, au diapason de la plupart des professionnels du secteur. Il vous appartient d’œuvrer à faire connaître ces tendances. Le gouvernement parle à la place des français « les Français demandent » alors qu’ils reflètent surtout les fantasmes d’une partie de la classe politique. « Les Français demandent […] à ce que les peines soient réellement exécutées », dites-vous, suggérant que ce n’est pas le cas alors que 95% des peines de prison ferme sont mises à exécution, d’après le ministre de la Justice. La loi pose au contraire l’aménagement des fins de peines comme un principe, destiné à faciliter la difficile transition entre détention et liberté, pour le plus grand bénéfice de la société. deux tiers des personnes détenues condamnées sortent de prison sans y avoir accédé.
Deux mutineries quasi simultanées, le 28 septembre 2024, ont rappelé l’ampleur des tensions qui s’accumulent dans les prisons françaises, toujours plus surpeuplées. À la maison d’arrêt de Nîmes, une centaine de prisonniers ont refusé de regagner leurs cellules pendant plus de quatre heures, le 28 septembre, pour dénoncer des conditions de détention inhumaines. Cette prison est par ailleurs infestée de rongeurs et de punaises de lit : 267% d’occupation au quartier hommes, où des matelas au sol ont été installés dans presque toutes les cellules. Le même jour, une mutinerie éclatait au quartier centre de détention de Majicavo (Mayotte), où la surpopulation, chronique, atteint là aussi 267%.
Aujourd’hui, nous recevons Victoire de la CGT chômeur pour faire un état des lieux du chômage en France. La France compte 9 millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté. Toutes ces personnes ne sont pas chômeuses puisque 3 millions sont comptabilisées comme n’ayant pas travaillé le mois écoulé. Il faut rajouter 3 millions de précaires, 1,3 million d’allocataires du RSA et 2 millions dans le « halo » du chômage. Ça fait beaucoup ! En sachant que les entreprises continuent de fermer et se délocalisent, ce qui va encore augmenter les sans-emplois.
Pendant ce temps, les patrons se frottent les mains puisque « l’armée de réserve » des demandeurs d’emploi sera moins regardante sur ses conditions de travail et de rémunération. L’État de son côté, en digne souteneur du patronat, continue, réforme après réforme, de réduire, de temps d’indemnisation, leur montant et rend plus difficile le fait d’y avoir accès. Il exonère toujours plus les patrons qui devraient verser dans les caisses la part du salaire socialisée sous prétexte qu’il faudrait aider les créateurs d’emplois qui n’en créent pas des masses.
Il propose de travailler toujours plus pour gagner toujours moins ; plutôt que l’inverse ! Il stigmatise, à longueur des médias, les fainéants qui se gobergent au frais du pauvre travailleurs qui se lèvent tôt, cherchant à opposer les exploités les uns contre les autres.
Pour chercher de l’argent, l’État propose d’aller le chercher dans les poches déjà bien vides des pauvres, qu’ils soient chômeurs, retraités ou travailleurs, plutôt que dans celles des actionnaires, des hauts revenus, des profits…
Ou en sommes nous dans l’univers impitoyable de la grande distribution ? Les grandes manœuvres se poursuivent, a grands coups de rachat et de dépeçage. Le groupe Casino n’y échappe pas.
Le 27 mars 2024, la dette de l’entreprise est revue de manière très significative et ses actionnaires vont être massivement dilués par l’apport de capital des repreneurs, les milliardaires Daniel Kretinsky et Marc Ladreit de Lacharrière adossés au fonds d’investissement Attestor. Casino comptait fin 2022 200 000 salariés dans le monde dont 50 000 personnes en France.
44 168 collaborateurs, après cession de ses activités hors de France. Une fois que ses hypermarchés et supermarchés auront été cédés à ses concurrents Intermarché, Auchan et Carrefour, l’effectif du distributeur tombera à 28 212 salarié-e-s fin 2023.
(Monoprix et Franprix) qui fond partie, entre autres du groupe Casino, basés respectivement à Clichy et Vitry-sur-Seine, en région parisienne, vont également être touchés. Selon le groupe, 750 postes seront supprimé en Île-de-France.
Dans l’émission de ce jour, pour parler de la situation à Monoprix, nous recevons en plateau : Soumaya, Lamia et Alain, salarié-e-s et syndicaliste au collectif CGT Monoprix. Nous reviendrons notamment sur la mise en place du “plan de sauvegarde de l’emploi” (PSE), autrement dit des licenciements.
En cette émission du 07 octobre, nous traiterons de la question Palestinienne en direct avec Matteo et Jean, afin de revenir sur la chronologie des événements de cette dernière année, mais aussi, afin de mieux comprendre le contexte dans lequel se sont déclenchées les attaques du 07 octobre 2023. Nous vous diffusons aussi quelques extraits de la manifestation du 05 octobre 2024 à Paris.
Le groupe Casino ou Casino Guichard-Perrachon est une entreprise française de grande distribution, fondée le 2 août 1898 Le groupe Casino ou Casino Guichard-Perrachon est une entreprise française de grande distribution, fondée le 2 août 1898
Outre les magasins Casino, le groupe Casino exploite les magasins : monoprix, Franprix, vival, spar, sherpa,Naturalia, leader price et la plate-forme en ligne Cdiscount. En 1997, le groupe Casino passe sous la direction de Jean-Charles Naouri. Le siège de Casino est situé à Saint-Etienne.
Sous la direction de Jean-Charles Naouri, PDG du groupe Casino, connaît une situation catastrophique liée à une dette très élevée de 6 milliards d’euros. Cet état de fait ne peut être imputé qu’au PDG qui a mis en place la stratégie économique et financière qui a conduit l’entreprise à des résultats déficitaires ces dernières années.
Pour renflouer les caisses afin de diminuer la dette, deux principaux et potentiels repreneurs, le milliardaire Daniel Kretinsky et 3F (composé du trio Xavier Niel, Matthieu Pigasse et Alexandre Zouari qui est l’actuel dirigeant du groupe TERACT) ont fait des propositions. La proposition de 3 F de 450 millions d’euros en montant converti en fonds propres n’apporte pas plus de garanties.
Pour parler de la situation dans le groupe Casino, nous recevons dans l’émission de ce jour en direct : Dominique, Adama et Alain, tous les trois salarié-e-s et syndicalistes à Monoprix.
En fin d’émission, nous serons avec un syndicaliste, qui nous parle du projet de la mairie d’Aubervilliers qui annonce vouloir fermer la Bourse du travail et des mobilisations à venir. Les organisations syndicales invitent tou-tes celles et ceux qui souhaitent contribuer à la mobilisation pour défendre la Bourse du travail : mardi 7 novembre 2023 à 18 h, lancement du comité de défense de la Bourse du travail d’Aubervilliers, 1 rue des 21 Appelés 93300 Aubervilliers.
Jeudi 9 novembre 2023 à 18 h, rassemblement Place de la Mairie d’Aubervilliers à l’occasion du Conseil municipal
Depuis maintenant bientôt un an les trois piquets de gréve de DPD Coudray, Chronopost, et RSI ( agence d’interim) sont en gréve reconductible pour leur régularisation.
Notre émission a pu réaliser de nombreux reportages lors de cette dernière année. Néanmoins, nous n’avions pu les recevoir dans les studios de Fréquence Paris Plurielle. Le 26 septembre dernier, et en vue de la “rentrée sociale”, il nous a semblé important de les accueillir afin de pouvoir faire un point de bilan sur les différentes étapes de la lutte l’année dernière afin ensuite de pouvoir envisager l’avenir.
Nous vous diffusons donc aujourd’hui une émission d’un format d’une heure et trente minutes, réalisé avec un membre de chacun des piquets de gréve qui permet de faire un point sur leur actualité et de revenir sur les stratégies de luttes qui s’offrent à nous.
Depuis 2009, notre émission existe sous un format quotidien originellement 1h30 puis d’une heure. Au fil des années, nos formats ont changés, se sont diversifiés, et notre équipe aussi. Toujours en collectif et en contact avec le terrain, une chose reste sure : nous sommes un média politique de lutte qui travaille en acte et en collaboration avec les acteurs des luttes, une critique radicale de la société. De notre coté pas de partis politiques ni de spécialistes, mais une parole partagée, engagée et égalitaire.
Ainsi, pour notre première émission direct de l’année 2022-2023, et comme notre à notre habitude, nous démarrons avec un direct de présentation de notre émission : son éditorial, ses membres, son fonctionnement et ses envies. Vous pourrez aussi entendre plusieurs medleys de reportages que nous avons réalisés au fil des années.
Nous continuerons donc d’émettre du lundi au vendredi sur Fréquence Paris Plurielle toute cette année hors période scolaire où nous établissons un programme de rediffusion.
N’hésitez pas à écouter notre cette émission et notre travail car si le coeur vous en dit, nous nous réunissons hebdomadairement à La Cantine des Pyrénées 77 rue de la mare 75020, et nous serions ravi-e-s de vous y rencontrer.
Depuis plusieurs Samedi , des salarié-e-s de monoprix se mobilisent contre leurs mauvaise condition de travail . ce sont les Samedi de la colère. Dans l’émission de ce jour , nous recevons en plateau , plusieurs d’entre eux et elles pour parler de la situation au sein de monoprix. Trois axes pour cette émission ; les revendications et le projet Socrate , la construction de la lutte et la question de la répression, notamment avec les assignations pour 18 salarié-e-s.
Dans l’émission de ce jour , nous revenons sur le mouvement des gilets jaunes qui a éclos en Novembre 2018
Nous avons réunis autour des micros , quelques gilets jaunes de différents secteurs de Paris et de la région parisienne et comme point de départ de cette émission , nous avons pris l’ acte 53 des 16 et 17 Novembre dernier
Dans l’émission de ce jour , nous faisons un point sur le mouvement des gilets jaunes . Et pour cela , nous recevons dans les studio différent groupes d’ ile de France et en leurs compagnie , nous ferons un bilan du mouvement a presque 1 an de son lancement
Dans cette première partie d’émission nous vous parlerons des luttes qui continuent dans les centres de retentions. Ensuite nous parlerons des luttes qui continuent dans les grandes distribution.