Conférence de presse des marcheurs – Arrivée des convois à Versailles et retour sur la manifestation parisienne du dimanche 29 novembre


Mobilisations contre la cop21 Vendredi27 Novembre à Palaiseau, conférence de presse des marcheurs faisant suite à l’interdiction faite aux différents convois de faire une étape sur le plateau de Saclay.
Samedi 28 Novembre, reportage sur l’arrivée de plusieurs de ces convois à Versailles.
Retour de la manifestation parisienne sur la cop21 et de la répression qui s’en ai suivi.

Rassemblement contre l”état d’urgence ce jeudi 26/11, annulation de la semaine “Même pas Cop” qui devait se tenir à l’Université P7 et un point sur les convois convergeant vers Paris


Dans l’Actualité des luttes d’aujourd’hui, un reportage sur le rassemblement contre l”état d’urgence,qui avait lieu ce jeudi 26 novembre à Paris, sur la place de la République suivit d’un appel d’un étudiant de l’Université Paris 7 suite à la décision du recteur de fermer l’université, pendant la semaine de débat “Même pas Cop !”. Puis, on fait enfin un point d’étape des convois convergeant vers Paris pour la cop21.

Questions autour de l’état d’urgence avec le Syndicat de la Magistrature et un point sur les marches sur la COP21


Laurence Blisson, juge d’application des peines, secrétaire nationale du Syndicat de la Magistrature, s’exprime pendant 30 min sur les dérives induites par l’état d’urgence.

En deuxième partie de l’Actualité des Luttes, nous feront un point  sur 2 marches qui se dirigent à Paris lors de la COP21: Celle qui est partie de la ZAD de Notre-Dame-Des-Landes et celle qui est partie du Morvan

Les marches sur la COP21:
http://marchesurlacop.noblogs.org/contacts/

2nde émission d’une série de trois sur la question des déchets nucléaire: Rencontre avec Copain44


Seconde émission de l’Actualité des Luttes d’une série de trois sur la question des déchets nucléaire.
En Aout dernier, à Bure dans la Meuse, avait lieu une rencontre sur l’accaparement de terre agricole en vue du projet enfouissement de déchet nucléaire.

Dans cette émission,intervient le collectif copain 44 de Loire Atlantique sur la préservation des terres agricole à Notre Dame des Landes,en lutte contre la construction d’un aéroport.

Présentation du film documentaire “Entre Chien et Loup” de Karim Benzidani et lecture de 2 textes en réaction a l’état d’urgence décrété suite aux attentats du 13 novembre

Continuer la lecture de Présentation du film documentaire “Entre Chien et Loup” de Karim Benzidani et lecture de 2 textes en réaction a l’état d’urgence décrété suite aux attentats du 13 novembre

Interview de Anna Salzberg pour son film “On ira à Neuilly, InchAllah” et d’un copain de la ZAD de Roybon


Anna Salzberg est co-réalisatrice avec Mehdi Ahoudig d’un superbe court-mètrage.
Synopsis: à Paris, de jeunes travailleurs de Vélib’ apprennent la lutte et tentent de s’organiser lors de leur première journée de grève. Par son dispositif, le film interroge la relation tendue entre image et son au cinéma.

Il sera diffusé le 20 novembre au local de la CNT Paris, 33 rue des vignolles, Paris (20e) à 20h

En second partie, un entretien avec un copain de la ZAD de Roybon qui nous parle de la mobilisation contre le Center Parcs de Roybon en Isère dans la foret des Chambarans.

Entretiens avec des grévistes du Collèges Gay Lussac de Colombes


Le 29 Septembre et le 3 Octobre ,a eu lieu à Colombes, une manifestation de solidarité avec Oscar Roman et Gari Pham. Tout deux sont enseignants et grévistes au collège Gay Lussac de Colombes. Ce mouvement de contestation fait suite à des sanctions disciplinaires.

Analyse de la situation en Grèce


De Bure, tour de table international sur la question de la répression


Cet été, du 1er au 10 août 2015, a été organisé un campement autogéré à Bure (55). Nous en avons profité pour questionner quelques participants allemands, russes et américains  sur la question de la répression.

Sexe et Révolution: Extrait de Radio Aktive, la radio mise en place a Bure lors du camp de cet été.

point sur le projet de Center-Parc de Roybon


Le 11 Juillet 2015 le PCSCP (Pour les Chambaran Sans Center-Parc) était l’invité d’honneur à Notre dame des Landes. Ce samedi, c’est Serge Perron, qui dans le cadre d’une rencontre a fait le point sur ce projet de Center-Parc a Roybon dans l’Isère et sur la lutte en cours.

Stratégie et moyen d’actions sur la lutte de Notre Dame des Landes.


Le 17 Juillet 2015 avait lieu,dans le cadre d’un week end de soutien contre la construction d’un aéroport,une rencontre avec les acteurs/actrices de cette luttes. Les différents intervenant-e-s ont fait le récit des multiples mobilisation de ses dernières années.

Situation des migrant-e-s à Paris


L’émission de l’Actualité des Luttes de ce jour est consacrée à la situation des migrant-e-s à Paris. Après l’expulsion du campement du quartier de la Chapelle, le 2 Juin dernier, les diverses étapes pour trouver des lieux sur la situation du campement d’Austerlitz et au vu des derniers développements, nous recevons ce 30 juin, les acteurs de cette lutte. Avec eux, nous évoquons la suite de ce mouvement et notamment leur retour à la Halle Pajol dans le 18éme arrondissement de Paris.

Archives Getaway et la thématique : Se défendre – IAATA


A l’occasion des quatrièmes rencontres organisée par Archives Getaway, le collectif nous a fait parvenir des documents sonores qui illustrent la thématique du week-end: se défendre. Il s’agit de lecture d’extrait de manifeste face à la justice, publiés entre 1960 et 1980.

Plus d’infos sur les rencontres du 27 et 28 juin sur le site de Archives Getaway:
http://getaway.eu.org/rencontres/quatriemes-rencontres-se-defendre/quatriemes-rencontres-se-defendre

Dans le deuxième partie de l’émission de l’Actualité des luttes, un extrait de la conférence de presse organisée en soutien au site IAATA, site d’info toulousain poursuivi en justice suite à la publication d’un texte.

“Résistons Ensemble” / Rencontres de cet été à Notre-Dame-des-Landes


L’Actualité des Luttes invite un membre du réseau “Résistons Ensemble” et un membre du collectif Interfac pour présenter et discuter du numéro de ce mois-ci.

Nous avons reçu Camille de la ZAD NDDL pour revenir sur la lutte contre la construction de l’aéroport à Notre Dame des Landes et présenter le programme des rencontres de cet été.

Les Migrants de La Chapelle…


Pierre Stambul a été victime d’une attaque du Raid / Action des parents d’élèves et des enseignants de St Denis (93)


Pierre Stambul fait partie de l’Union Juive pour la Paix, il a récemment été victime d’une attaque de la part du Raid orchestrée par un hacker suite à ses prises de positions antisionistes. Il nous expose ses positions et raconte la longue nuit où il a été accusé d’avoir tué sa femme au micro de l’émission Égrégore (Reims).

Dans la deuxième parti de l’émission, l’actu des luttes s’est invitée à l’école de la légion d’honneur lors d’une action des parents d’élèves et des enseignants de St Denis (93).

Conférence Jeunesse Kurdistan


Contre le projet d’enfouissement de déchets nucléaire à Bure dans la Meuse


Dans “L’actualité des luttes ” de ce jour, il  a été question de la mobilisation contre le projet d’enfouissement de déchets nucléaire à Bure dans la Meuse. En 1er partie d’émission, un entretien avec deux habitants de la maison résistance a la poubelle nucléaire de Bure,réalisé le 6 Juin. Puis des prises de paroles et d’entretiens sur le rassemblement “100000 pas à Bure”, le 7 Juin 2015.

Inculpation d’un membre du site d’info IAATA pour apologie du terrorisme / annonce soirée Ali Ziri


Deux sujets dans l’émission de l’Actualité des Luttes de ce jour. En premier lieu il fut question de l’inculpation d’un membre d’ un site d’information collaboratif toulousain iaata. Il lui est reproché,a travers un texte publié après une manifestation a Toulouse,de comment faire pour que les manifestant-e-s se protègent de la police et avec a la clef un procès le 29 Juin à Toulouse.

En seconde partie d’émission, Élise,du collectif vérité et justice pour Ali Ziri, nous a présentée la soirée de commémoration du 12 Juin a Argenteuil.

Préparation de la manif contre la réforme des collèges


A la veille de la manifestation du 11 Juin contre la réforme des collèges, nous avons fait avec notre invité Yannick Lainé, professeur de lycées à Colombes dans les Hautes de Seine, un tour d’horizon de cette réforme et de ses enjeux. Syndicaliste à SUD éducation 92, nous avons tenté de voir quelles pourraient être les possibles convergences avec d’autres secteurs.

Manifestation: 200 professeurs pour st Denis / travail dissimulé dans une association s’occupant des droits de l’homme


Deux sujets dans cette émission:Pour débuter, un reportage réalisé le 4 Juin dernier à st Denis dans le cadre d’une manifestation pour exiger l’embauche de 200 professeurs pour st Denis et 1500 pour la Seine st Denis.

En seconde partie d’émission, le témoignage de Illia, ex salarié dans une association s’occupant des droits de l’homme.ils nous parlent de travail dissimulé et de salaire versé avec difficulté.

William Blanc pour son livre co-écrit avec Christophe Naudin: “Charles Martel et la bataille de Poitiers, de l’histoire au mythe identitaire”


Nous avons reçu William Blanc pour son livre co-écrit avec Christophe Naudin: “Charles Martel et la bataille de Poitiers ,de l’histoire au mythe identitaire”. Dans cette émission, il a été question de la récupération historique de Charles Martel par des groupuscules d’extrême droite à des fins d’invasion arabo-musulmanes.

Rassemblement de cheminot à St Denis / spectacle de Jeremy Beschon, joué à la Bellevilloise à Marseille


En Première partie d’émission, un son réalisé lors d’un rassemblement de cheminot à St Denis devant le siège de la SNCF afin de protester contre le réduction des moyens accordés au CE de la SNCF mais surtout pour dénoncer le plan de privatisation en cours.

En deuxième partie: une invitation à se rendre au spectacle de Jeremy Bechon qui se joue à la Bellevilloise à Marseille. A partir du livre “l’histoire universelle de Marseille” d’Alèssi Dell’ Umbria (éditions Agone)
 : “La comédienne nous invite à remonter le temps pour découvrir une autre histoire de France. Une riche expérience d’émancipation qui nous montre que la démocratie ne vient pas d’en haut, de l’État, mais d’en bas, de la commune.

Une table ronde pour faire le bilan de 28 jours de grève à Radio-France 2nde partie


Seconde partie:

Il nous semblait intéressant, après une lutte aussi importante, de revenir sur les raisons de la grève, son quotidien et ce qu’elle a porté. Les traces et les perspectives après ces 28 jours de grève ont été aussi évoquées.

Texte fondateur de la Coordination de Radio France
http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7728


Radio France : un climat post-grève explosif, Aude Dassonville, 02/06/2015
http://www.telerama.fr/radio/radio-france-un-climat-post-greve-explosif,127323.php


Radio France : bilan d'un mois de grève

Plusieurs semaines après la fin de la grève qui avait secoué les stations publiques, l'inquiétude et la colère des salariés n'ont pas disparu.
Radio France est-elle au bord d'une nouvelle grève ? Un mois et demi après la fin du conflit qui a paralysé la maison de la radio pendant 28 jours, la question mérite d'être posée. « Le climat est explosif », assurent plusieurs personnes en interne. Pour preuve, les murs et les piliers qui s'ornent chaque jour de nouveaux messages grinçants : « La colère couve toujours », « Luttons », « Occupy Radio France », ou encore le peu surprenant « Gallet du balai ». Tracés à la craie, ils disparaissent aussi vite qu'ils ont surgi. Mais montrent que si le 16 avril la grève a cessé, le combat, lui, n'a pas pris fin.

Une assemblée générale des personnels est d'ores et déjà prévue jeudi 4 juin, qui fera suite à deux jours entiers de CCE (comité central d'entreprise). Le premier, extraordinaire, se tient ce mardi 2 au matin avec l'objectif d'examiner « les orientations stratégiques et leurs conséquences sur l'activité, l'emploi, l'organisation du travail et les contrats temporaires » : le plan de départs volontaires, qui pourrait concerner entre 320 et 380 personnes, est dans toutes les têtes. Le second, ordinaire, aura lieu ce mardi après-midi et mercredi et s'intéressera aux comptes de la maison. « On a le sentiment que la direction ne maîtrise plus rien, avance Jean-Paul Quennesson, représentant de Sud. Elle est totalement dépassée par les enjeux. » La CFTC devrait réclamer un audit sur les comptes de la réhabilitation de la Maison Ronde, et déposer un droit d'alerte. Absente de l'intersyndicale qui lança le mouvement social du printemps, l'organisation n'exclut pas de déposer un préavis de grève dans les prochains jours ; ni de rejoindre ses collègues des CGT, CFDT, Sud, Unsa et FO s'ils appelaient à un nouvel arrêt de travail. Considéré comme un obstacle au dialogue social, Christian Mettot, directeur de ressources humaines, est dans le viseur des syndicats. S'il restait en poste, le départ du PDG Mathieu Gallet pourrait à nouveau être demandé.


Sous la houlette du médiateur Dominique-Jean Chertier, des groupes de travail s'efforcent pourtant d'avancer les réflexions sur les modes de production, le réseau France Bleu, les orchestres — tous sujets débattus en vue de l'élaboration du contrat d'objectifs et de moyens (COM). « La maison a la réunionnite », ironise même un cadre. Pas sûr que cette inflation soit vraiment bénéfique. « Sur le réseau France Bleu, c'est à peine s'il y a eu une réunion, indique d'ailleurs Philippe Ballet, de l'Unsa. Sur les modes de production, la discussion est censée durer jusqu'en juin 2016 ; et sur la musique, ça n'a pas encore commencé. » De fait, Mathieu Gallet a appelé le directeur de la Philharmonie Luxembourg, l'Allemand Stephan Gehmacher, pour lui confier une mission d'étude sur les formations musicales ; d'ici à quelques semaines, après avoir auditionné tous les acteurs de la direction concernée (1), il devra établir un projet-cadre, base d'une discussion sur le « redimensionnement »des orchestres réclamé par Fleur Pellerin

En attendant, la clepsydre se vide : la direction de Radio France est censée informer les partenaires sociaux des grandes lignes de son COM au prochain CCE, le 17 juin. Le vote (purement consultatif) des instances aura lieu le 21 juillet, soit deux jours avant la présentation du document en conseil d'administration. Après examen des commissions des affaires culturelles de l'Assemblée et du Sénat, et avis du CSA, il devra recevoir l'imprimatur du ministère de la Culture et de la Communication.
Ce sera alors l'automne, et peu ou prou le moment où le plan de départs deviendra réalité (d'après des sources syndicales, deux cabinets extérieurs à Radio France seraient en train d'en examiner les modalités possibles). Ce sera aussi le moment où la maison pourrait, prévient la direction à mi-voix, se retrouver potentiellement dans l'impossibilité de payer les salaires.

(1) Récemment évincé, le directeur Jean-Pierre Rousseau, nommé l'année dernière, est remplacé de manière temporaire par Bérénice Ravache, secrétaire générale de Radio France.

Une table ronde pour faire le bilan de 28 jours de grève à Radio-France 1ere partie


Première partie:

Il nous semblait intéressant, après une lutte aussi importante, de revenir sur les raisons de la grève, son quotidien et ce qu’elle a porté. Les traces et les perspectives après ces 28 jours de grève ont été aussi évoquées.

Texte fondateur de la Coordination de Radio France
http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7728


Radio France : un climat post-grève explosif, Aude Dassonville, 02/06/2015
http://www.telerama.fr/radio/radio-france-un-climat-post-greve-explosif,127323.php


Radio France : bilan d'un mois de grève

Plusieurs semaines après la fin de la grève qui avait secoué les stations publiques, l'inquiétude et la colère des salariés n'ont pas disparu.
Radio France est-elle au bord d'une nouvelle grève ? Un mois et demi après la fin du conflit qui a paralysé la maison de la radio pendant 28 jours, la question mérite d'être posée. « Le climat est explosif », assurent plusieurs personnes en interne. Pour preuve, les murs et les piliers qui s'ornent chaque jour de nouveaux messages grinçants : « La colère couve toujours », « Luttons », « Occupy Radio France », ou encore le peu surprenant « Gallet du balai ». Tracés à la craie, ils disparaissent aussi vite qu'ils ont surgi. Mais montrent que si le 16 avril la grève a cessé, le combat, lui, n'a pas pris fin.

Une assemblée générale des personnels est d'ores et déjà prévue jeudi 4 juin, qui fera suite à deux jours entiers de CCE (comité central d'entreprise). Le premier, extraordinaire, se tient ce mardi 2 au matin avec l'objectif d'examiner « les orientations stratégiques et leurs conséquences sur l'activité, l'emploi, l'organisation du travail et les contrats temporaires » : le plan de départs volontaires, qui pourrait concerner entre 320 et 380 personnes, est dans toutes les têtes. Le second, ordinaire, aura lieu ce mardi après-midi et mercredi et s'intéressera aux comptes de la maison. « On a le sentiment que la direction ne maîtrise plus rien, avance Jean-Paul Quennesson, représentant de Sud. Elle est totalement dépassée par les enjeux. » La CFTC devrait réclamer un audit sur les comptes de la réhabilitation de la Maison Ronde, et déposer un droit d'alerte. Absente de l'intersyndicale qui lança le mouvement social du printemps, l'organisation n'exclut pas de déposer un préavis de grève dans les prochains jours ; ni de rejoindre ses collègues des CGT, CFDT, Sud, Unsa et FO s'ils appelaient à un nouvel arrêt de travail. Considéré comme un obstacle au dialogue social, Christian Mettot, directeur de ressources humaines, est dans le viseur des syndicats. S'il restait en poste, le départ du PDG Mathieu Gallet pourrait à nouveau être demandé.


Sous la houlette du médiateur Dominique-Jean Chertier, des groupes de travail s'efforcent pourtant d'avancer les réflexions sur les modes de production, le réseau France Bleu, les orchestres — tous sujets débattus en vue de l'élaboration du contrat d'objectifs et de moyens (COM). « La maison a la réunionnite », ironise même un cadre. Pas sûr que cette inflation soit vraiment bénéfique. « Sur le réseau France Bleu, c'est à peine s'il y a eu une réunion, indique d'ailleurs Philippe Ballet, de l'Unsa. Sur les modes de production, la discussion est censée durer jusqu'en juin 2016 ; et sur la musique, ça n'a pas encore commencé. » De fait, Mathieu Gallet a appelé le directeur de la Philharmonie Luxembourg, l'Allemand Stephan Gehmacher, pour lui confier une mission d'étude sur les formations musicales ; d'ici à quelques semaines, après avoir auditionné tous les acteurs de la direction concernée (1), il devra établir un projet-cadre, base d'une discussion sur le « redimensionnement »des orchestres réclamé par Fleur Pellerin

En attendant, la clepsydre se vide : la direction de Radio France est censée informer les partenaires sociaux des grandes lignes de son COM au prochain CCE, le 17 juin. Le vote (purement consultatif) des instances aura lieu le 21 juillet, soit deux jours avant la présentation du document en conseil d'administration. Après examen des commissions des affaires culturelles de l'Assemblée et du Sénat, et avis du CSA, il devra recevoir l'imprimatur du ministère de la Culture et de la Communication.
Ce sera alors l'automne, et peu ou prou le moment où le plan de départs deviendra réalité (d'après des sources syndicales, deux cabinets extérieurs à Radio France seraient en train d'en examiner les modalités possibles). Ce sera aussi le moment où la maison pourrait, prévient la direction à mi-voix, se retrouver potentiellement dans l'impossibilité de payer les salaires.

(1) Récemment évincé, le directeur Jean-Pierre Rousseau, nommé l'année dernière, est remplacé de manière temporaire par Bérénice Ravache, secrétaire générale de Radio France.

La question du maintien de l’ordre : rapport Popellin


L’assemblée des blessées, collectif réuni autour de la question des violences et des mutilations policières, a été entendue dans le cadre de la commission Popellin sur le maintien de l’ordre, établie suite à la mort de Rémi Fraisse.

L’actualité des luttes s’est entretenu avec deux participants de l’assemblée autour de deux recommandations rendues par la commission : le “remplacement” des flashballs par les LBD 40 (Lanceur de balles de défense) une arme plus performante et l’interdiction administrative de manifester.

Le rapport Popellin:
http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-enq/r2794.asp

Historique des armes dites “non-létales”

https://reimsmediaslibres.info/Historique-des-armes-dites-non-letales-123.html

Cet article est le premier d’une série de trois articles ayant pour thèmes les armes à létalité réduite, c’est à dire toutes les armes de la police censées ne pas tuer. Il sera ici question d’histoire, en effet un bref rappel historique semblait nécessaire pour aborder la question.

Depuis les évènements du 7, 8 et 9 janvier 2015, le ministère de l’Intérieur a demandé aux maires de consulter leur police municipale sur l’opportunité d’armer ces agents. Dans la région, Châlons-en-Champagne a décidé de franchir le pas et Reims a lancé une réflexion sur ce sujet. Si armement il y aura, il sera question d’armes à létalité réduite, renommée “non-létale” par les médias. Il apparaît donc important de se pencher un peu sur ces joujoux dont vont probablement disposer de plus en plus de policiers municipaux.
Dans une série de trois articles, seront étudiés l’utilisation effective en France de ces armes, ensuite ce qu’il se fait dans les autres pays et le commerce de ces armes. Mais d’abord, commençons cette série par un petit historique.

Irlande du Nord : Laboratoire de la première génération


Historiquement, donc, si la présence d’arme non-létale est à constater un peu partout, et surtout dans les colonies dès le début du siècle dernier, les premiers à utiliser de manière répétée et réfléchie ces armes vont être les britanniques. L’Irlande du Nord est considérée comme le laboratoire des armes non-létale sur les populations locales de la Métropole. Leur utilisation va intervenir dans deux circonstances, sommes toutes très différentes : l’interrogation des prisonniers de l’IRA et la gestion des émeutes. La première de ces utilisations sera qualifiée de “traitements inhumains et dégradants” par la Cour Européenne des Droits de l’Homme dès 1976. En revanche, la seconde utilisation, celle durant les manifs, va poser beaucoup moins de problèmes éthiques.
Les britanniques testent. La Squawk Box fait partie de leur arsenal non-létale. Il s’agit d’une boite qui émet deux hyperfréquences différentes [par exemple 16 000 Hz et 16 002 Hz], qui une fois mixées par l’oreille deviennent insupportables, et causent des étourdissements, des nausées et des évanouissements.
Les armes non-létales deviennent très rapidement létales, Il s’agit des prémices de ces armes et les tests grandeur nature à Belfast font plusieurs morts.
En 1970, apparaissent des balles en caoutchouc, puis en plastiques, qui tueront 17 personnes, connues. Entre 1973 et 1998, la BBC estiment que les forces britanniques ont tirés 125 000 balles en plastique sur le sol irlandais.
Le Royaume-Uni n’obtient pas du tout l’effet escompté, l’utilisation de ces armes va intensifier le conflit.
Le parlement britannique interdit l’utilisation des armes à létalité réduite partout en Grande-Bretagne, sauf en Irlande du Nord…
En 1995, les nord irlandais perdent leur privilège d’unique victime des armes non létales au Royaume-Uni. Le quartier de Brixton, dont la très grande majorité de la population est noire, s’embrasse suite à la mort de Wayne Douglas en garde à vue. La police utilise des armes non létales face aux habitants de Brixton.
Le Non-Fatal Offences Against the Person Act de 1997 qui interdit l’utilisation “de la chaleur, de la lumière, de l’électricité, du bruit, ou toute forme d’énergie” contre les personnes va rendre illégal un bon nombre de ses armes, bien que leur utilisation continue…
Ces armes à létalité réduite se voient donc utiliser contre des populations sur lesquels la police possède une très grande marge de manœuvre puis peu à peu cette utilisation s’étend à un pan plus large de la société. Ainsi, en 2011, lorsque Tottenham, loin d’être un ghetto uniquement constitué de noirs, s’émeute suite à la mort d’un homme de 29 ans, tué par un policier, la Metropolitan Police annonce son intention de se servir de balles en caoutchouc, celles testées pendant des années en Irlande du Nord. Tout le Royaume-Uni devient donc un terrain d’application d’un savoir faire acquis contre une minorité.

Un développement international grâce aux États-Unis

Pendant plusieurs années, la Grande-Bretagne en Irlande et Israël en Palestine vont être les seuls à avoir une utilisation industrielle du non-létale. De nombreux pays s’en servent bien sûr mais cela reste ponctuel, et surtout plutôt secret. Peu se vantent de l’utilisation de ces armes.
Il va falloir attendre 1991 et le lancement par Dick Cheney, secrétaire d’État à la défense, d’un groupe de travail autour des armes non-létales pour que celles-ci gagnent leur respectabilité.
En 1992, les casques bleus de l’ONU utiliseront ce type d’arme en Somalie, notamment canons à eau et gaz lacrymogènes. En 1996, l’OTAN organise un séminaire autour de leur utilisation, 12 pays membres y participent (Allemagne, Belgique, Canada, Danemark, États-Unis, France, Grèce, Italie, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni et Turquie), en revanche, il n’y a pas de trace significative de leur conclusion. La même année, la réflexion lançait aux États-Unis aboutissait à la Directive 3000.3, document considéré comme fondateur de la théorie de la non-létalité qui concluait :
« Les armes non létales sont des armes discriminantes qui sont explicitement mises au point et principalement utilisées pour frapper d’incapacité le personnel et le matériel, avec un minimum de risque mortel, de lésions permanentes au personnel et de dommages indésirables aux biens et à l’environnement ».

La Somalie devient un laboratoire pour les États-Unis. Ils y testent de nombreux gadgets, dont le sticky foam, sorte de mousse gluante et acide qui empêcherait les mouvements de la personne qui la reçoit.
Les tests de certaines de ces armes vont s’avérer concluants, d’autres non, pas de nouvelle par exemple du sticky foam… Elles vont donc être testées aux États-Unis.
D’’abord dans les quartiers noirs où tout le monde se souvient des émeutes de 1992 à Los Angeles, dans le quartier de Watts, après la mort de Rodney King. Puis peu à peu à chaque fois où il y a une foule à gérer. Le sommet du G8 de Seattle va servir de terrain d’entraînement grandeur nature pour tout un tas de lacrymogènes, projectiles, etc. Dernièrement, la gestion policière du mouvement Occupy Wall Stree témoigne de la généralisation des gaz et projectiles non létaux.
Les États-Unis servant de modèle vont inspirer les français et d’autres pays occidentaux, qui par le biais de revente de leur savoir-faire vont peu à peu développer ces armes à létalité réduite partout dans le monde.

En France, un outil contre les quartiers


La France utilise très vite les gaz lacrymo et les bâtons de défense dans la gestion de foule lors de la période de l’après-guerre. En mai 68, les CRS ont déjà dans leur arsenal les matraques et les gaz. Les meurtres policiers de 1961 ont tout de même marqué une bonne partie de la population et il s’agit ici de manifestations d’étudiants pour la plupart, il n’est pas question d’en tuer à la pelle. Les armes non-létales trouvent donc leur utilité dans cette volonté, ou plutôt impossibilité politique, de ne pas toujours tuer.
Les lacrymos et les canons à eau, même si ces derniers sont peu utilisés en France il est vrai, vont devenir une image d’Épinal des manifs, à tel point que plus personne ne sera choquée par leur usage. En revanche, dans les quartiers se développe une toute autre vision. Avec l’arrivée de Mitterrand, la gauche souhaite éviter de trop tuer, la violence des derniers ministres de l’intérieur (dont les deux tarés Marcellin et Poniatowski) a un tant soit peu écorné l’image de la police dans les couches populaires. C’est donc en 1982 qu’arrivent les célèbres GOMM-COGN de l’entreprise ManuFrance tirées par des fusils à pompe. Les policiers vont très vite les adopter et leur présence va se généraliser dans les rangs des forces de l’ordre au cours des années 1980, notamment dans les quartiers.
En 1992, les premiers Flash-Balls font leur apparition suite à des émeutes ayant mis en grande difficulté la police. “Ils sont destinés à être utilisés uniquement dans les cas de légitime défense pour arrêter un individu menaçant les policiers d’un pistolet à grenaille ou d’une arme blanche” selon Pierre Richert, leur concepteur. En 1994, la création de la BAC de nuit puis leur généralisation en 1996 va permettre aux armes non létales, notamment Flash-ball, de connaitre une utilisation quotidienne dans les banlieues grâce à leur côté ludique, les flics les considèrent comme des jouets, dont ils peuvent se servir quand ils veulent contrairement aux armes à feu. En 1999, le Flash-Ball superpro arrive dans les mains des policiers, fabriqué par Verney-Carron, il dispose d’un double canon de 44 mm et crée une détonation équivalente à un calibre 12. Après les émeutes de 2005, des Flash-Ball encore plus puissant remplacent les anciens, ces armes additionnées à l’esprit de vengeance des policiers tendront vers une utilisation plus nombreuse et plus violente.
Dans le même temps, en 2004 le Taser X6 arme la police française pour la première fois. Il envoie deux dards délivrant une décharge comprise entre 20 000 et 50 000 volts avec un ampérage de 0.0036 amp. D’abord conçu pour la police nationale, son usage est élargi à la municipale en 2008, ce que le conseil d’État annulera en 2009 dans un premier temps avant qu’un autre décret n’autorise définitivement le Taser pour les policiers municipaux.

Partout, le même schéma

Dans ce petit historique, nous avons pu voir que l’utilisation de ces armes dites “non-létales” était dans un premier réservé aux populations de seconde zone à l’intérieur des métropoles, les irlandais du nord pour le Royaume-Unis, les habitants de banlieues en France. Puis sous l’impulsion des États-Unis, la plupart des pays ont élargi leur utilisation à toutes les personnes confrontées à la police. Elles sont devenues un outil primordial dans la gestion de foule et il est actuellement impossible de participer à une manifestation sans être face à une police possédant plusieurs de ces armes (matraques, lacrymo, Flash-ball, Taser), dans les quartiers elles font partie du quotidien de nombreuses personnes.
Dans un second chapitre, nous reviendrons plus en détail sur les caractéristiques de ces différentes armes, on étudiera un peu aussi les dorénavant célèbres grenades de désencerclement et on tentera de faire un bilan, malheureusement non-exhaustive, des victimes de ces armes.

Rassemblement devant l’école spéciale d’architecture / manifestation de soutien au squat des Francs-Tireurs


Deux sujets dans l’émission :On débute par un rassemblement devant l’école spéciale d’architecture, le 13 mai dernier suite au licenciement “sec” de 9 salariés de l’ESA syndiqués à la CNT.

http://www.cnt-f.org/mobilisation-de-soutien-de-la-cnt-pour-les-salaries-licencies-de-l-ecole-speciale-d.html

Le second sujet est un reportage sur une manifestation de soutien au squat des Francs-Tireurs. Ce rassemblement s’est tenu le 16 Mai à la Courneuve contre son expulsion.

https://fr.squat.net/tag/la-courneuve/

Opposition au traité de libre échange – Soirée “On fait la fête au TAFTA”


Émission sur l’opposition au traité de libre échange lors de la journée d’action globale du 18 avril à Berlin, suivi d’un son sur la soirée “On fait la fête au TAFTA”, soirée organisée par ATTAC le 12 mai à Paris 12ème.

Le TAFTA – Transatlantic Free Trade Agreement, c’est le traité de libre-échange que la Commission Européenne et les Etats-Unis – ou plutôt leurs multinationales, sont en train de négocier dans le plus grand secret afin d’entériner un droit des affaires au-dessus des parlements “démocratiques” et des réglementations environnementales et sociales. Alors, demain, des poulets chlorés, du boeuf aux hormones et des OGM dans vos assiettes?

https://france.attac.org/se-mobiliser/le-grand-marche-transatlantique/

Redif: Le foyer Cara de Saint-Ouen et Collectif « Solidarité-Femmes de Kobane »


Mobilisation au Carrefour Market / entretien avec Gaye Bouna


1- Mobilisation au Carrefour Market lors de l’action du samedi 9 mai 2015 au magasin de Boulogne-Billancourt. Les salarié-e-s du magasin exigeaient de meilleures conditions de travail et des augmentations de salaires. Se sont joints à la lutte des postiers des Hauts de Seines (92), la poste souhaitant externaliser ses services dans ces grandes surfaces. Cela se ferait en augmentant la charge de travail sur les  salarié-e-s de l’enseigne et au détriment des postiers.

2- Entretien avec Gaye Bouna, frère de Zyed. Cet entretien a été réalisé la veille du rendu de la décision de la cours d’Appel de Rennes concernant les 2 policiers mis en examen dans l’affaire du 27 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois. Rappel des faits: 3 enfants  avaient pris la fuite après avoir été pris en chasse par la Brigade Anti-criminalité, suite à un banal contrôle de police . Zyed et Bouda sont morts électrocutés et Muhittin  a été gravement brulé.

Le foyer Cara de Saint-Ouen et Collectif “Solidarité-Femmes de Kobane”


1. Le foyer Cara menacé d’expulsion

Le personnel du FJT CARA (Saint Ouen) est en grève depuis une semaine et demie. Les résident-e-s se mobilisent encore une fois pour obtenir des conditions de vie décentes et leur relogement. Sous la précédente municipalité, le foyer de jeunes travailleurs historique de Saint Ouen, dont le bâtiment appartenait à l’office HLM, a été vendu à un promoteur afin d’en faire un hôtel – vue panoramique, entre le futur terminus de la ligne 14 et le siège d’Alstom. Le foyer devait être livré vide de ses occupants cet été mais rien n’avait été fait dans leur direction pour assurer un suivi permettant aux résident-e-s de retrouver un logement.

https://fr-fr.facebook.com/david.cara.718

2. Solidarité avec les femmes de Kobané

Kobané, ville Kurde située en Syrie à la frontière turque  et dirigée par le mouvement kurde YPG, mouvement d’indépendance laïque et d’obédience marxiste a subi le siège de l’armée de l’Etat Islamique que les combattants kurdes ont réussi à repousser fin janvier 2015.

https://www.facebook.com/pages/Solidarit%C3%A9-Femmes-Koban%C3%AA/871721932861622

 

Collectif solidarité femmes Kobané


Kobané, ville Kurde située en Syrie à la frontière turque  et dirigée par le mouvement kurde YPG, mouvement d’indépendance laïque et d’obédience marxiste a subi le siège de l’armée de l’Etat Islamique que les combattants kurdes ont réussi à repousser fin janvier 2015.

https://www.facebook.com/pages/Solidarit%C3%A9-Femmes-Koban%C3%AA/871721932861622

 

Grèves de la société TFN


Depuis le 11 mars, des salarié-e-s de TFN se sont mis en grève sur plusieurs sites des centres de finances publiques parisiens.  Dans cette émission de l’Actualité des luttes, avec Sandy, salariée de la société TFN, Fabrice et Danielle de la CGT-finance-Paris, nous avons évoqué l’histoire de ce mouvement et des suites qui lui seront données.

Pour information:
http://www.ulcgt11.fr/?TFN-en-greve-emission-l-actualite-4718

Grève des salariés de la société TFN / manifestation de salariés d’hôtels de luxe


Rassemblement de soutien aux grévistes du nettoyage de la société TFN le 27 Avril 2015 suivi d’un reportage sur une manifestation des salarié-e-s en lutte des hôtels de luxe près de l’Arc de triomphe le 4 Novembre 2014.

Ayotzinapa : la disparition de 43 étudiants


En ce mercredi 6 mai, nous avons reçu Anita et Jade. Ensemble, nous avons évoqué la disparition de 43 étudiants dans la région du Guerrero (Mexique) le 26 Septembre 2014, et la lutte de leurs parents qui réclame la vérité sur ce qui est arrivé à leurs enfants. Il a aussi été question des formes que revêt cette lutte et comment la mettre en œuvre. Cette visite s’est faite dans le cadre de leur tournée européenne en ce début du mois de mai 2015.

http://cqfd-journal.org/Mexique-Ayotzinapa-crime-d-Etat

 

Pico y pala Le Brésil


Lors du festival Pico y pala qui se déroulait du 2 au 6 Avril 2015, la journée du 6 Avril fut consacrée au brésil. Il fut abordé une réflexion sur la situation sociale et politique au travers de la coupe du monde de football 2014 et la préparation des jeux olympiques d’été de 2016.

Le projet d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure


Aujourd’hui il a été question du traitement des déchets nucléaires. Avec nos invités, nous sommes revenus sur ce projet d’enfouissement à Bure, dans la Meuse, et sur la préparation de la rencontre internationale qui aura lieu du 1er au 10 Aout 2015 à Bure.

Festival Pico y pala: grand Paris au J.O de 2024 / point d’information sur Mumia Abudjamal


Conférence Université Saint-Denis: Lutte contre l’apartheid israélien


Le 9 mars avait lieu une conférence à l’université paris 8, dans le cadre de la semaine internationale de lutte contre l’apartheid israélien. Dans ce cadre plusieurs interventions ont pu être enregistré par l’Actualité des Luttes.

Dans ce reportage vous pourrez entendre Bilal Alfandi, militant BDS palestien, Max Blumenthal, journaliste américain et une militante de la campagne BDS france.

La Voix Des Sans-Papiers: Redif du 16 Avril 2015: Procès du squat du collectif Baras


Numéro d’avril de Résistons Ensemble / Interview de Luc Decaster pour la sortie de son film “Qui a tué Ali Ziri ?”


Liens:
http://resistons.lautre.net/
http://collectif-ali-ziri.over-blog.com/
http://www.unifrance.org/annuaires/personne/305098/luc-decaster

Mobilisation en soutien à des parents expulsés, koltenchenko


Gréve des salariés de ONET/ Les mineurs isolés / Les expulsés de Boulogne-Billancourt


Forum-Interfac: Emmanuel Blanchard / Radio-France en gréve / annonce gréve a la bnf


Manif contre le projet de loi Macron du 9 avril


3 sons proposés par l’Actualité des Luttes : 2 ont été pris lors de la manif du 9 avril,le dernier, en AG interpro qui s’est tenue après la manif et qui a réuni une bonne cinquantaine de personnes.

Elle est où la manif de demain ?
Il nous a semblé logique, au vu de la large mobilisation de cette manifestation du 9 avril, si on veut vraiment combattre sérieusement ce projet de loi, appelé Loi Macron, de poser la question du lendemain.

Ce micro-trottoir, cette accumulation s’est mené comme une quête, de manière un peu détournée mais aussi de façon très ludique et très naïve. Nous avons abordé les manifestants, micro en main, avec une seule question : “Je cherche le point de rdv de la manif de demain, vous le connaissez-vous ?”

Certains ont compris ce que nous insinuions et ont joué, d’autres ont botté en touche nous dirigeant vers leurs dirigeants. Un petit jeu qui nous a donné envie de continuer à aborder de vraies questions et pas seulement qu’avec nos proches. Ce petit jeu qui nous a bien plu, nous le reproduirons, c’est certain.

Forum-Interfac : Olivier Le Cour Grandmaison


Manif de mal-logés à St-Denis / Les chibanis de la SNCF devant les Prudhommes


Interviews de salariés en grève à Radio France