Mobilisation du 14 octobre 2025 à Paris, en Belgique et partout dans le monde

Dans cette émission, vous pourrez entendre Benjamin de la commission international Bloquons tout sur la mobilisation du 14 octobre à Paris. Puis Jacques Chastaing qui nous fera un tour d’horizon des luttes dans le monde. Puis, vous entendrez Stéphane Galais porte-parole de la confédération paysanne, sur la mobilisation du 14 octobre à Paris contre les traités de libre échange du MERCOSUR puis Samy installé en Bolivie.

Manifestation nationale – 14 octobre en Belgique

Avec son accord d’été, le gouvernement réduit encore la Sécurité sociale, les droits sociaux, notre pouvoir d’achat et donc les perspectives d’avenir de la population. Par contre, il a trouvé de l’argent pour acheter plus de drones et d’avions de chasse !

Le mouvement se poursuit contre la casse sociale de l’Arizona. Nous voulons :

  • des pensions dignes et le retrait du Malus Jambon ;
  • des emplois de qualité et pas des contrats bidons ;
  • plus de pouvoir d’achat, le maintien de l’indexation automatique, des services publics refinancés ;
  • une réforme fiscale qui fasse davantage contribuer les plus riches ;
  • le respect des droits fondamentaux dont les droits syndicaux ;
  • une politique ambitieuse pour la transition vers une société sans carbone respectueuse de l’environnement et des travailleurs/euses ;
  • la reconnaissance de l’État palestinien et des sanctions sévères contre Israël.

Rendez-vous le 14 octobre à partir de 10h à Bruxelles pour une manifestation nationale en front commun syndical

Le 14 octobre à Paris, bloquons ensemble avec la confédération paysanne contre l’accord UE-Mercosur !

Pour stopper l’accord de libre-échange UE-Mercosur, la Confédération paysanne appelle largement l’ensemble des paysan·nes, encartés ou non, les organisations citoyennes de solidarité internationale, de protection des consommateur·rices, de défense de l’environnement, les syndicats de travailleur·euses, les pétitionnaires contre la loi Duplomb, les citoyen·nes à monter sur Paris pour manifester, tracteurs en tête, le mardi 14 octobre, à 12h esplanade des Invalides.

Tous les accords de libre-échange sont à refuser, clause de sauvegarde ou non. Ils sont catastrophiques pour l’avenir de nos élevages et de nos fermes et pour la qualité de notre alimentation. Ils sapent aussi notre démocratie, empêchant toute initiative politique publique de justice sociale, de relocalisation et de transition. Nous exigeons donc la régulation des marchés et un commerce international équitable qui placent enfin les enjeux de revenu paysan, de souveraineté alimentaire, de droits sociaux, de protection de l’environnement devant les intérêts financiers des multinationales.

C’est cet appel à une stratégie enfin gagnante contre le libre-échange que nous allons porter cet après-midi en audition à l’Assemblée nationale sur l’accord UE-Mercosur. Au-delà des discours de façade, nous espérons que les parlementaires et les autres syndicats agricoles seront prêts à poser enfin les bases d’un front de lutte solide contre le libre-échange qui participe à la délocalisation de notre agriculture et à la fragilisation de notre revenu.

Les contradictions profondes actuelles des dirigeants de la FNSEA et de la Coordination Rurale autour des normes empêchent une réelle stratégie gagnante contre les accords de libre-échange. Les dirigeants de la FNSEA orchestrent une stratégie volontairement perdante, du fait de leurs propres intérêts à maintenir ce système économique injuste. Faut-il en effet leur rappeler qu’il n’est pas possible d’un côté de revendiquer de protéger notre agriculture, et de l’autre côté de pousser des mesures accélérant la course à la compétitivité sur les marchés mondiaux : ré-autorisation de pesticides interdits, agrandissement et concentration capitalistique des exploitations, déréglementation des OGM, détricotage des droits sociaux, développement des méga-bassines, soutien à d’autres accords de libre-échange… Cette posture contradictoire est d’une hypocrisie sans nom qui mène le monde agricole dans le mur. Comment allons-nous rivaliser avec des pays où le salaire minimum avoisine un euro l’heure ? Devrons-nous autoriser à nouveau les antibiotiques comme activateurs de croissance ? Devrons-nous supprimer le SMIC en France ?

Les décideurs politiques doivent aussi avoir le courage de la clarté : vouloir abaisser nos normes pour se battre sur les marchés mondiaux, comme avec la loi Duplomb, ou protéger un modèle agricole et alimentaire de qualité et donc réguler les marchés.

Le 14 octobre, deux camarades seront jugés suite à notre action syndicale du 5 décembre 2024 au Grand Palais lors de la Bourse européenne du commerce, pour dénoncer la spéculation sur les marchés agricoles. Ce doit être le moment d’une mobilisation massive pour stopper tous les accords de libre-échange. C’est en se mobilisant avec le reste de la société, pour créer un rapport de force gagnant, que le monde agricole pourra faire valoir ses revendications pour stopper ces politiques libérales qui détruisent nos fermes, notre revenu, notre santé et l’environnement. Faire croire l’inverse, c’est tromper les paysan·nes sur notre capacité à faire reculer la logique du libre-échange sur nos fermes et dans nos vies.

Ce front commun, le plus large possible, est la condition sine qua non pour réussir à sortir enfin l’agriculture et l’alimentation des logiques de marché !

Déso c’est kéblo émission du pain et des parpaings n°28

Illustration issue de https://formesdesluttes.org/

Aujourd’hui, nous vous diffusons l’émission du pain et des parpaings n°28

Ça a commencé à bruisser en juillet.

Un post, puis un appel au confinement, relayé dans les réseaux de la fachosphère, brandissant le 10 septembre comme horizon. Tout le monde est un peu en vacances, ou au travail sous la canicule, les villes sont encore semi-vides, les incendies dévastent, et la date du 10 continue de circuler dans les milieux politiques, militants.

Elle commence à déborder sur les murs, les containers des poubelles, au marqueur, dans les conversations, les sections syndicales… Partout, des groupes, indignons-nous, se retrouvent, écrivent des revendications sur la santé, l’éducation, recueillent des doléances, partagent des appels et des communiqués.

On entame la saison 4 de “Du pain et des parpaings”, une émission mensuelle d’actu des luttes en Bretagne et ailleurs, serré.es autour du plateau pour refléter différentes composantes du mouvement « Bloquons tout » et en discuter ensemble.

Musiques :

– Dañs-ar-bleiz, d’Eben

– Ya Nas, de Bachar Mar-Khalifé

Texte :

– 4h45 sur le pont, sur lundi.am : https://lundi.am/4H45-sur-le-pont

Contact :

dpedp@riseup.net

Rediffusion NE TOURNONS PAS LA PAGE !/ Communiqué de l’inter-AG Indignons-nous Bloquons-tout : de la critique des directions syndicales

Après le mouvement social en opposition à la contre-réforme des retraites de 2023, s’était constitué à la faveur de la pratique de la grève, un collectif appelé “Ne tournons pas la page”. Ce collectif entendait précisément comme son nom l’indique continuer la lutte et interpeller les directions syndicales, pour les mettre face à leurs responsabilités et s’en faire la critique.

Et c’est précisément parce que le mouvement de cette fin d’été/début d’automne 2025, c’est-à-dire Indignons-nous – Bloquons tout, entend et essaye de trouver des voies nouvelles, d’expérimenter, en se faisant critique de la stratégie des directions de l’intersyndicale, au passé comme au présent, que nous avons choisi en cette journée de manifestation du 2 octobre, de vous faire écouter une rediffusion provenant de nos archives sur l’initiative du collectif “Ne tournons pas la page”.

Nous vous ferons ainsi tout d’abord la lecture du communiqué de l’inter-Assemblée du mouvement Indignons nous – bloquons tout du 28 septembre dernier. Puis, en écho et pour parallèle, nous enchaînerons par la lecture du texte du collectif “Ne tournons pas la page”. Avant de vous faire écouter une sélection de l’archive proprement dite.

Nous vous annonçons par ailleurs que ce jeudi 2 octobre, à 19h devant l’institut du monde arabe (place Mohammed V/Rue des Fossés St-Bernard) aura lieu une assemblée générale afin de d’élaborer et de voter potentiellement la suite directe de cette journée de mobilisation. Entendez par là, la volonté de dépasser l’intersyndicale et la possibilité de la reconduction de grèves, comme de préparer une grève générale, ou toutes modalités d’actions que le mouvement se donnera lui-même, qui ne se limite pas à une seule journée, ni ne soit limité par les bureaucraties syndicales.

POUR UNE STRATÉGIE DU TRIPLE DÉBORDEMENT CE JEUDI 2 OCTOBRE !
Appel de l’inter AGs du mouvement “Indignons nous – bloquons tout” :

Travailleur.euses, paysan.nes, étudiant.es, citoyen.nes, chômeur.euses ou retraité.es,

Ce dimande 28, lors de la deuxième rencontre inter AGs du mouvement Indignons-nous Bloquons tout, la nécessité de déborder la stratégie perdante qu’essaye de nous imposer l’intersyndicale avec ses journées saute mouton s’est faite lourdement ressentir.

Elle s’est accompagné de différents témoignages au sujet de la journée de mobilisation du 18 septembre dernier appelée par l’intersyndicale qui a déçu beaucoup de militants pour son manque de vitalité en comparaison à l’émulation ressentie le 10 octobre.

Ce sentiment semble également partagé par le syndicat Solidaire qui a publié ces derniers jours des communiqués nous alertant sur le fait de ne pas reproduire les mêmes erreurs du passé. “N’attendons définitivement plus rien qui vienne d’en haut” pouvait-on y lire mais créons plutôt les conditions afin que les travailleurs reprennent en main le calendrier de leur lutte pour que “la rue l’emporte” !

Le syndicat FO s’est également targué de plusieurs communiqués cinglants insistants sur la nécessité de monter d’un cran dans le rapport de force avec le non-gouvernement Lecornu, notamment en réunissant les salariés pour discuter de la grève reconductible partout où c’est possible.

C’est pourquoi les participants de notre dernière rencontre nationale, provenant d’une quarantaine de villes différentes, ont décidé eux aussi de prendre les devant en lançant cet appel à proposer dans toutes nos assemblées durant la semaine qui vient pour une stratégie du triple débordement ce jeudi 2 octobre.

Premièrement : déborder les clous du cortège classique avec ce qui a fait désormais la marque de notre mouvement, c’est à dire l’action directe, les blocages et les manifs sauvages qui nous permettent d’agir collectivement et de surprendre nos adversaires.

Deuxièmement : déborder les mots d’ordre syndicaux avec nos slogans, nos banderoles, nos pancartes et si possible nos propres sonos pour exprimer notre colère qui s’adresse aussi au président Macron, à cette cinquième république pourrissante ou à cette classe médiatico-politique complice du génocide à Gaza.

Troisièmement : déborder enfin et surtout la stratégie de l’intersyndicale en organisant des Assemblées générales à l’issue des manifestions, pour construire ensemble nos propres perspectives, la suite d’un mouvement que nous avons initié et imposé à l’intersyndicale, notamment à travers la construction de la grève reconductible qui culminerait le 10 octobre, date anniversaire, pour un blocage total de l’économie.

Nous vous invitons donc vous, membres de ce si beau mouvement naissant, à diffuser cet appel lors de vos prochaines assemblées locales pour que ces dernières puissent s’en saisir si elles le souhaitent et décider elles-mêmes de ses modalités d’action pour participer à ce blocage général du pays.

La victoire est à portée de main si nous y mettons les forces nécessaires. Alors soyons créatifs et, combatifs, imprévisibles mais surtout soyons ingouvernables jusqu’à la victoire !

Cet appel est issu du groupe de travail “Débordons le 2 octobre !” de l’inter AGs du mouvement “Indignons nous – bloquons tout”.

Texte de Ne tournons pas la page de 2023

Adresse aux directions de la CGT, FO, SOLIDAIRES, FSU, CFDT, CFTC, UNSA, CFE-CGC :
NE TOURNONS PAS LA PAGE !
Mesdames, Messieurs,

Nous sommes mobilisés depuis plusieurs mois contre la loi Borne. En effet, le système des retraites par répartition étant à l’équilibre, et l’heure de travail en France étant parmi les plus productives au monde, il n’y a aucune raison acceptable de repousser de deux ans l’âge de départ à la retraite. Comme vous aujourd’hui, nous exigeons l’abrogation de la loi Borne.

Emmanuel Macron, ses ministres, ses députés, ses sénateurs, et de larges pans du patronat sont heureux que la loi ait enfin pu être promulguée. Ils veulent passer à autre chose, passer à d’autres « réformes », c’est-à-dire d’autres attaques contre les services publics, les travailleuses et travailleurs (en emploi ou non), et la jeunesse.
Par ailleurs, les candidats à la présidence du Medef réclament déjà « d’introduire une dose de capitalisation ». C’est bien la mise à mort du système par répartition qui est programmée.

À l’instar des millions de manifestantes et manifestants le 1ᵉʳ mai, de ceux qui depuis font grève dans leur entreprise, et de tous ceux qui casserolent chaque jour les représentants de Macron, nous, nous ne tournons pas la page.

Nous sommes pour la plupart syndiqués dans vos fédérations. Nous avons pour la plupart repris le travail. Nous entendons nos collègues nous dire que « faire grève ne sert à rien ». Nous pouvons les comprendre. Qui a envie de perdre du salaire « pour rien » ? Nous faisons aussi le constat que 14 journées de grève réparties sur 6 mois, de janvier à juin, est une tactique qui est loin d’avoir porté ses fruits.

Le pouvoir était beaucoup plus chancelant courant mars, lors de la grève reconductible de plusieurs secteurs (cheminots, raffineurs, énergéticiens, secteur des déchets…). Nous avons conscience, comme des millions de travailleuses et travailleurs en France, que nous devons arrêter le travail tous en même temps, pour véritablement bloquer le pays et avoir le rapport de force nécessaire pour obtenir l’abrogation de la loi Borne.

En tant que directions syndicales, vous avez le pouvoir d’appeler à la grève générale, de l’organiser et de la financer. Pas de fausse modestie entre nous. Il est insupportable d’entendre dire qu’il n’y a pas de bouton pour déclencher la grève générale, quand on voit avec quelle aisance on appuie sur le frein pour
empêcher le déferlement. Vous ne pouvez pas vous défausser de vos responsabilités sur le reste de la direction de votre confédération, ou sur vos fédérations.

Si nous perdons ce combat de civilisation, celui du travail contre le capital, celui du temps libre sur le temps contraint, vous serez les coupables tout désignés de cette défaite. Vos dizaines de milliers de nouveaux syndiqués ne seront bientôt plus qu’un lointain souvenir.

Nous vous demandons donc de prendre toutes vos responsabilités, et de vous engager par écrit à :
1 : Cesser toute rencontre avec Macron ou ses ministres. Ne pas « négocier » d’autres contre-réformes. Assumer la politique de la chaise vide. Arrêter d’être des « interlocuteurs responsables ». Vous gagnerez en crédibilité auprès des seules personnes qui comptent : les travailleuses et les travailleurs.
2 : Appeler à la grève générale, l’organiser, et la financer. Dans le cas contraire, nous en tirerons toutes les conséquences.

MANIFESTATION INTERSYNDICALE DU 18 SEPTEMBRE 2025

Le 10 septembre 2025, une première mobilisation, bloquons tout, surgit. diverses initiatives se mettent en place et une multitude d’assemblées générales se réalise, sur l’ensemble du territoire. Sur ce fait, les confédérations syndicales, assez frileuses sur cette première mobilisation, décide à leurs tours de lancé, une journée d’action.

Journée assez bien suivie, puisque que l’on serait entre 500 000 et 1 000 000 de manifestants et manifestantes sur l’ensemble du pays avec des appels à la grève.

Pour Paris, une manifestation se déroulait entre la place de la Bastille et la place de la nation.

Dans l’émission de ce jour, nous vous proposons l’écoute du reportage réalisé ce 18 septembre 2025, dans le cortège parisiens.

Avant cela, nous entendrons, une analyse du site information, le canard réfractaires, sur les mobilisations au niveau nationale, puis avant de nous rendre à Paris, un détour par l’assemblée générale, qui se tenait le matin, à Garges les Gonesse, dans le Val-d’Oise, pour un entretien réalisée avec des enseignants mobilisé.

Sur la manifestation parisienne, nous entendrons un membre du collectif culture en lutte, des électriciens, un salarié de chez Safran, un cheminot de la gare de l’Est et nous terminerons cette émission, avec le récit d’un manifestant, qui était le matin sur le blocage du dépôt de bus Lagny, dans le 20ᵉ arrondissement de Paris.

On Bloque Tout : les prochains rendez-vous

Val-d’Oise AG A 18H ESPACE LES DOUCETTES 10 rue du Tiers Pot Garges les Gonesse.

PARIS AG gare du Nord mardi 23 septembre à 19h (lieu exact à préciser)

Val-de-Marne (94)

  • Choisy-le-Roi : AG départementale sur la place du marché (Jean Jaurès) le mercredi 24 septembre à 18 h 30

Hauts-de-Seine (92)

  • Fontenay-aux-roses : Assemblée populaire vendredi 26 septembre à 19 h 30 sur la place du marché

Reportage lors d’un tractage de l’AG du 13e — prise de parole devant l’hôpital de la Pitié-salpêtrière — Canard réfractaire

Vous entendrez dans cette émission tout d’abord un reportage effectué le samedi 13 septembre sur le parvis du centre commercial Italie 2 situé sur la place d’Italie dans le 13e arrondissement de Paris. Ce tractage avait été voté le jeudi précédent lors de l’assemblée de quartier Paris 13e née à l’occasion du mouvement Bloquons tout. C’est ainsi qu’une quinzaine de personnes se sont données rendez-vous en début d’après-midi pour distribuer des tracts préalablement rédigés en commun, de façon collaborative, et imprimés avec les outils d’impression du Poing levé, la branche jeunesse du parti Révolution Permanente, dont une personne présente lors de l’assemblée faisait également partie. C’est ainsi un montage de ce reportage que nous vous faisons entendre : un type d’activité militante somme toute classique, mais qui vient illustrer la dynamique en cours, en même temps qu’il renseigne d’une activité concrète et basique d’une assemblée populaire. Et au-delà, du travail militant en lui-même.

Dans une seconde partie d’émission, ce sont ensuite des morceaux choisis de prises de parole devant l’hôpital Pitié-Salpêtrière le lundi 15 septembre qui vous seront proposés d’écouter, suivis par un extrait d’une émission du média le Canard réfractaire, qui revenait sur l’articulation entre assemblée citoyennes, travailleurs en grèves et syndicats.

Chaîne du média Canard réfractaire
Voir Paris-luttes.info pour prendre notes des différents rendez-vous actualisés : lien

Rendez-vous publics entendus pendant l’émission (non-exhaustifs) :
4h : Piquet de grève RATP au Dépôt du Barrage, 39-41 avenue Lénine, à Saint-Denis
5h30 : Rdv pour soutenir le piquet de grève des travailleurs et travailleuses du centre bus de Lagny (67 rue de Lagny Paris 20ème)A partir de
7h30 : Rdv à la cantine des pyrénées pour un petit déjeuner, préparation de sandwichs, un point info et des départs collectifs pour des actions durant la journée
7h30 : Rdv au rond-point Charles de gaulle (près du Auchan) à Fontenay-sous-bois tenu par le comité local Bloquons tout. Petit-déjeuner, rencontres et départ en action prévus !
8h : Rassemblement devant le centre commercial la vache noire à Arcueil 9h : AG éducation (1er & 2nd degrés) à la Ferme de l’horloge, 16 rue Pierre Timbaud à Gennevilliers suivie d’une AG interprofessionnelle 92 à 10h à la même adresse
9h30 : Rdv devant la mairie d’Ivry-sur-seine pour “se déployer” collectivement
9h30 : AG et manifestation à l’appel de l’intersyndicale locale (CGT, FSU, Solidaires) à Meaux, Place de la Mairie10h : Rassemblement au piquet de grève de Sanofi à Maison Alfort (180 rue Jean Jaurès 94700 Maisons-Alfort) en vue d’un départ collectif en manifestation
10h : AG de la Pitié-Salpétrière (Parc des hauteurs, 83 boulevard de l’hôpital dans le 13e arrondissement)10h : Assemblée générale des musées, à la Bourse du Travail, 3 rue du château d’eau, Paris 10e
10h : AG du syndicat unitaire des personnels des administrations parisiennes à la bourse du travail, à l’adresse 3 rue de château d’eau dans le 10e arrondissement, dans une salle non-indiquée
10h : AG de la commission de mobilisation du travail social IDF, 3 rue du château d’eau, salle peloutier
10h : AG devant la mairie de Montreuil10h : AG à la Bourse du travail d’Aulnay-sous-bois
10h : Manifestation au départ place de la Boule à Nanterre
10h : Manifestation à Champigny au départ du 95 avenue de la République (c’est devant le centre médical)
11h : Rassemblement devant l’hôpital Saint-Antoine (184 Rue du Faubourg Saint-Antoine, 12e arrondissement)
11h : Rassemblement devant l’hôpital Tenon pour départ vers la manifestation intersyndicale
11h : Rdv devant le café le Royal (40 bd du Général Leclerc de Hauteclocque) pour une déambulation à travers les Lilas
11h : AG à la gare de Lyon
12h : Assemblée Générale devant le parvis de la gare du Nord, à l’appel des cheminots
12h30 : Rassemblement à Évry, place des droits de l’homme
12h45 : Rassemblement sur la place de la mairie de Malakoff
13h : Départ de l’esplanade des Grands Moulins (de la faculté de Paris 7) vers la manifestation intersyndicale
14h : Manifestation à l’appel de l’intersyndicale au départ de Bastille

BLOQUONS TOUT: journée du 10 septembre

Suite aux différentes mesure d’austérité, imposé à toutes et à tous par le gouvernement, mais ne touchant pas de plus grande fortune de ce pays, la colère monte. Le mouvement bloquons tout est né de cette injustice. Le 10 septembre n’est pas une fin, mais un début. C’est un peuple qui s’indigne, qui se lève et qui bloque tout pour débloquer son présent et son avenir verrouillés par les milliardaires et les gouvernements qui les servent. Quelques repaires : 211 milliards, donnés aux plus grandes entreprises sans contrepartie, 500 familles possédant 44 % du produit intérieur brut et le doublement du budget de la guerre depuis 2017, soit 43 milliards ponctionnés sur les droits sociaux.

Dans l’émission de ce jour, nous revenons sur cette journée du 10 septembre 2025.

Après avoir été dès 6 heures du matin sur les blocages de périphérique, nous nous sommes rendus à l’assemblée générale du technicentre SNCF de Châtillon à 10 heures. Pas mal de grévistes de cette journée appelé par ” bloquons tout”, sans attendre la date du 18 septembre qui émanait des bureaucraties de l’intersyndicale.

Mais nous commençons cette émission, par un point d’ensemble de cette journée via le site d’information le canard réfractaire .et en seconde partie d’émission, nous nous rendrons à la gare du Nord, ou en fin de matinée, se tenait une assemblée générale des cheminotes et cheminots. Bonne écoute !

Réflexions sur le mouvement social Bloquons tout du 10 septembre par le Canard réfractaire

Dans cette émission, vous entendrez un agenda (partiel) de la journée du 9 et 10 septembre. Cet agenda sera suivi de la rediffusion d’émissions du Canard Réfractaire.

Agenda des lutes autour de la date du 10 septembre : lien sur Paris-luttes.info

Site indignons-nous Bloquons-tout. Vous pourrez y retrouver les liens Télégram (locaux, thématiques, départementaux) utilisés pour des fins d’organisation.

https://indignonsnous.fr/

Actu Réfractaire
Canard Réfractaire

Origine du mouvement tel que raconté dans la presse :
Dans l’Humanité
Dans Next Impact

Critique-média sur le mouvement 10 septembre
Arrêt sur image : lien
Rhinocéros : lien

Tribune appelant à soutenir, amplifier et prolonger la mobilisation du 10 septembre