Dans l’émission de ce jour, un reportage réalisé a Paris le 23 Septembre 2014 sur la manifestation des personnelles hospitaliers.
Dans l’émission de ce jour, un reportage réalisé a Paris le 23 Septembre 2014 sur la manifestation des personnelles hospitaliers.
Le 29 Septembre et le 3 Octobre ,a eu lieu à Colombes, une manifestation de solidarité avec Oscar Roman et Gari Pham. Tout deux sont enseignants et grévistes au collège Gay Lussac de Colombes. Ce mouvement de contestation fait suite à des sanctions disciplinaires.
A travers la lutte syndicale et la gréve de la faim que mènent Oscar Roman et Gari phan au lycée Gay Lussac a Colombes-92- c’est la défense de l’éducation prioritaire qui est mise en lumiére.nous entendrons Dans cette émission, un entretien réalisé avec Oscar et Gari,le 29 Septembre devant le lycée Gay Lussac.
Et nous sommes également revenue , sur le mouvement de gréve au collège Bellefontaine à Toulouse, qui avait conduit aussi quelques enseignantes, a menée une gréve de la faim en Juillet dernier.
Deux reportages dans l’émission de ce jour.Tout d’abord,un reportage sur la manifestation parisienne de l’AP-HP-assistance publique hôpitaux de Paris- du 17 Septembre,suivit de la rediffusion d’un sujet sur les anciens travailleurs marocains de la SNCF spoliés de leurs droits.
Pierre Stambul fait partie de l’Union Juive pour la Paix, il a récemment été victime d’une attaque de la part du Raid orchestrée par un hacker suite à ses prises de positions antisionistes. Il nous expose ses positions et raconte la longue nuit où il a été accusé d’avoir tué sa femme au micro de l’émission Égrégore (Reims).
Dans la deuxième parti de l’émission, l’actu des luttes s’est invitée à l’école de la légion d’honneur lors d’une action des parents d’élèves et des enseignants de St Denis (93).
A la veille de la manifestation du 11 Juin contre la réforme des collèges, nous avons fait avec notre invité Yannick Lainé, professeur de lycées à Colombes dans les Hautes de Seine, un tour d’horizon de cette réforme et de ses enjeux. Syndicaliste à SUD éducation 92, nous avons tenté de voir quelles pourraient être les possibles convergences avec d’autres secteurs.
Deux sujets dans cette émission:Pour débuter, un reportage réalisé le 4 Juin dernier à st Denis dans le cadre d’une manifestation pour exiger l’embauche de 200 professeurs pour st Denis et 1500 pour la Seine st Denis.
En seconde partie d’émission, le témoignage de Illia, ex salarié dans une association s’occupant des droits de l’homme.ils nous parlent de travail dissimulé et de salaire versé avec difficulté.
En Première partie d’émission, un son réalisé lors d’un rassemblement de cheminot à St Denis devant le siège de la SNCF afin de protester contre le réduction des moyens accordés au CE de la SNCF mais surtout pour dénoncer le plan de privatisation en cours.
En deuxième partie: une invitation à se rendre au spectacle de Jeremy Bechon qui se joue à la Bellevilloise à Marseille. A partir du livre “l’histoire universelle de Marseille” d’Alèssi Dell’ Umbria (éditions Agone) : “La comédienne nous invite à remonter le temps pour découvrir une autre histoire de France. Une riche expérience d’émancipation qui nous montre que la démocratie ne vient pas d’en haut, de l’État, mais d’en bas, de la commune.
Seconde partie:
Il nous semblait intéressant, après une lutte aussi importante, de revenir sur les raisons de la grève, son quotidien et ce qu’elle a porté. Les traces et les perspectives après ces 28 jours de grève ont été aussi évoquées.
Texte fondateur de la Coordination de Radio France http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7728 Radio France : un climat post-grève explosif, Aude Dassonville, 02/06/2015 http://www.telerama.fr/radio/radio-france-un-climat-post-greve-explosif,127323.php Radio France : bilan d'un mois de grève Plusieurs semaines après la fin de la grève qui avait secoué les stations publiques, l'inquiétude et la colère des salariés n'ont pas disparu. Radio France est-elle au bord d'une nouvelle grève ? Un mois et demi après la fin du conflit qui a paralysé la maison de la radio pendant 28 jours, la question mérite d'être posée. « Le climat est explosif », assurent plusieurs personnes en interne. Pour preuve, les murs et les piliers qui s'ornent chaque jour de nouveaux messages grinçants : « La colère couve toujours », « Luttons », « Occupy Radio France », ou encore le peu surprenant « Gallet du balai ». Tracés à la craie, ils disparaissent aussi vite qu'ils ont surgi. Mais montrent que si le 16 avril la grève a cessé, le combat, lui, n'a pas pris fin. Une assemblée générale des personnels est d'ores et déjà prévue jeudi 4 juin, qui fera suite à deux jours entiers de CCE (comité central d'entreprise). Le premier, extraordinaire, se tient ce mardi 2 au matin avec l'objectif d'examiner « les orientations stratégiques et leurs conséquences sur l'activité, l'emploi, l'organisation du travail et les contrats temporaires » : le plan de départs volontaires, qui pourrait concerner entre 320 et 380 personnes, est dans toutes les têtes. Le second, ordinaire, aura lieu ce mardi après-midi et mercredi et s'intéressera aux comptes de la maison. « On a le sentiment que la direction ne maîtrise plus rien, avance Jean-Paul Quennesson, représentant de Sud. Elle est totalement dépassée par les enjeux. » La CFTC devrait réclamer un audit sur les comptes de la réhabilitation de la Maison Ronde, et déposer un droit d'alerte. Absente de l'intersyndicale qui lança le mouvement social du printemps, l'organisation n'exclut pas de déposer un préavis de grève dans les prochains jours ; ni de rejoindre ses collègues des CGT, CFDT, Sud, Unsa et FO s'ils appelaient à un nouvel arrêt de travail. Considéré comme un obstacle au dialogue social, Christian Mettot, directeur de ressources humaines, est dans le viseur des syndicats. S'il restait en poste, le départ du PDG Mathieu Gallet pourrait à nouveau être demandé. Sous la houlette du médiateur Dominique-Jean Chertier, des groupes de travail s'efforcent pourtant d'avancer les réflexions sur les modes de production, le réseau France Bleu, les orchestres — tous sujets débattus en vue de l'élaboration du contrat d'objectifs et de moyens (COM). « La maison a la réunionnite », ironise même un cadre. Pas sûr que cette inflation soit vraiment bénéfique. « Sur le réseau France Bleu, c'est à peine s'il y a eu une réunion, indique d'ailleurs Philippe Ballet, de l'Unsa. Sur les modes de production, la discussion est censée durer jusqu'en juin 2016 ; et sur la musique, ça n'a pas encore commencé. » De fait, Mathieu Gallet a appelé le directeur de la Philharmonie Luxembourg, l'Allemand Stephan Gehmacher, pour lui confier une mission d'étude sur les formations musicales ; d'ici à quelques semaines, après avoir auditionné tous les acteurs de la direction concernée (1), il devra établir un projet-cadre, base d'une discussion sur le « redimensionnement »des orchestres réclamé par Fleur Pellerin En attendant, la clepsydre se vide : la direction de Radio France est censée informer les partenaires sociaux des grandes lignes de son COM au prochain CCE, le 17 juin. Le vote (purement consultatif) des instances aura lieu le 21 juillet, soit deux jours avant la présentation du document en conseil d'administration. Après examen des commissions des affaires culturelles de l'Assemblée et du Sénat, et avis du CSA, il devra recevoir l'imprimatur du ministère de la Culture et de la Communication. Ce sera alors l'automne, et peu ou prou le moment où le plan de départs deviendra réalité (d'après des sources syndicales, deux cabinets extérieurs à Radio France seraient en train d'en examiner les modalités possibles). Ce sera aussi le moment où la maison pourrait, prévient la direction à mi-voix, se retrouver potentiellement dans l'impossibilité de payer les salaires. (1) Récemment évincé, le directeur Jean-Pierre Rousseau, nommé l'année dernière, est remplacé de manière temporaire par Bérénice Ravache, secrétaire générale de Radio France.
Première partie:
Il nous semblait intéressant, après une lutte aussi importante, de revenir sur les raisons de la grève, son quotidien et ce qu’elle a porté. Les traces et les perspectives après ces 28 jours de grève ont été aussi évoquées.
Texte fondateur de la Coordination de Radio France http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7728 Radio France : un climat post-grève explosif, Aude Dassonville, 02/06/2015 http://www.telerama.fr/radio/radio-france-un-climat-post-greve-explosif,127323.php Radio France : bilan d'un mois de grève Plusieurs semaines après la fin de la grève qui avait secoué les stations publiques, l'inquiétude et la colère des salariés n'ont pas disparu. Radio France est-elle au bord d'une nouvelle grève ? Un mois et demi après la fin du conflit qui a paralysé la maison de la radio pendant 28 jours, la question mérite d'être posée. « Le climat est explosif », assurent plusieurs personnes en interne. Pour preuve, les murs et les piliers qui s'ornent chaque jour de nouveaux messages grinçants : « La colère couve toujours », « Luttons », « Occupy Radio France », ou encore le peu surprenant « Gallet du balai ». Tracés à la craie, ils disparaissent aussi vite qu'ils ont surgi. Mais montrent que si le 16 avril la grève a cessé, le combat, lui, n'a pas pris fin. Une assemblée générale des personnels est d'ores et déjà prévue jeudi 4 juin, qui fera suite à deux jours entiers de CCE (comité central d'entreprise). Le premier, extraordinaire, se tient ce mardi 2 au matin avec l'objectif d'examiner « les orientations stratégiques et leurs conséquences sur l'activité, l'emploi, l'organisation du travail et les contrats temporaires » : le plan de départs volontaires, qui pourrait concerner entre 320 et 380 personnes, est dans toutes les têtes. Le second, ordinaire, aura lieu ce mardi après-midi et mercredi et s'intéressera aux comptes de la maison. « On a le sentiment que la direction ne maîtrise plus rien, avance Jean-Paul Quennesson, représentant de Sud. Elle est totalement dépassée par les enjeux. » La CFTC devrait réclamer un audit sur les comptes de la réhabilitation de la Maison Ronde, et déposer un droit d'alerte. Absente de l'intersyndicale qui lança le mouvement social du printemps, l'organisation n'exclut pas de déposer un préavis de grève dans les prochains jours ; ni de rejoindre ses collègues des CGT, CFDT, Sud, Unsa et FO s'ils appelaient à un nouvel arrêt de travail. Considéré comme un obstacle au dialogue social, Christian Mettot, directeur de ressources humaines, est dans le viseur des syndicats. S'il restait en poste, le départ du PDG Mathieu Gallet pourrait à nouveau être demandé. Sous la houlette du médiateur Dominique-Jean Chertier, des groupes de travail s'efforcent pourtant d'avancer les réflexions sur les modes de production, le réseau France Bleu, les orchestres — tous sujets débattus en vue de l'élaboration du contrat d'objectifs et de moyens (COM). « La maison a la réunionnite », ironise même un cadre. Pas sûr que cette inflation soit vraiment bénéfique. « Sur le réseau France Bleu, c'est à peine s'il y a eu une réunion, indique d'ailleurs Philippe Ballet, de l'Unsa. Sur les modes de production, la discussion est censée durer jusqu'en juin 2016 ; et sur la musique, ça n'a pas encore commencé. » De fait, Mathieu Gallet a appelé le directeur de la Philharmonie Luxembourg, l'Allemand Stephan Gehmacher, pour lui confier une mission d'étude sur les formations musicales ; d'ici à quelques semaines, après avoir auditionné tous les acteurs de la direction concernée (1), il devra établir un projet-cadre, base d'une discussion sur le « redimensionnement »des orchestres réclamé par Fleur Pellerin En attendant, la clepsydre se vide : la direction de Radio France est censée informer les partenaires sociaux des grandes lignes de son COM au prochain CCE, le 17 juin. Le vote (purement consultatif) des instances aura lieu le 21 juillet, soit deux jours avant la présentation du document en conseil d'administration. Après examen des commissions des affaires culturelles de l'Assemblée et du Sénat, et avis du CSA, il devra recevoir l'imprimatur du ministère de la Culture et de la Communication. Ce sera alors l'automne, et peu ou prou le moment où le plan de départs deviendra réalité (d'après des sources syndicales, deux cabinets extérieurs à Radio France seraient en train d'en examiner les modalités possibles). Ce sera aussi le moment où la maison pourrait, prévient la direction à mi-voix, se retrouver potentiellement dans l'impossibilité de payer les salaires. (1) Récemment évincé, le directeur Jean-Pierre Rousseau, nommé l'année dernière, est remplacé de manière temporaire par Bérénice Ravache, secrétaire générale de Radio France.